ETn l’an dernier, lorsque la Ville de Le port de Santa Maria Il a sorti, tardivement et aux enchères, l’appel d’offres pour un an seulement de la gestion de la place, touché d’un enjeu pertinent. Il a laissé l’entreprise sans la charge de payer l’IBI (taxe foncière) pour retourner cet argent dans une amélioration de l’exploitation. Cette année, apparemment, c’est le paiement de l’IBI, encore une fois, un point de discorde qui retarde le besoin urgent pour le Real Plaza d’avoir une entreprise pour pouvoir travailler. D’une part, l’obligation de ce paiement soulève de sérieux doutes car il s’agit d’une propriété, la Plaza de Toros de Le port de Santa Maria, qui entre dans le Catalogue général de la Communauté andalouse des biens historiques et culturels protégés. Plus précisément, il a une catégorie d’actifs de protection complète de classe A.
La première question est qu’il est précisé que si une propriété de ce catalogue historique/culturel n’est pas régie par la loi d’application de l’État, qui stipule que les propriétés déclarées BIC Ils sont exonérés du paiement de cette taxe. Et qu’on comprenne bien pourquoi il faut payer une taxe d’environ 60 000 euros par an, à laquelle il faut ajouter le paiement du canon d’un concours qui passe toujours aux enchères. La deuxième question est que, si légalement le coso doit payer ICIPourquoi le locataire devrait-il payer et non le bien, le locataire et non le propriétaire ? Il est honteux, injuste et contraire à l’intérêt de la tauromachie et de son activité culturelle légale qu’une entreprise qui détient le pouvoir d’exploiter la propriété moins d’un mois sur douze par an, soit celle qui paie cette somme.
Cette année, apparemment, c’est le paiement de l’IBI, encore une fois, un point de discorde qui retarde le besoin urgent pour le Real Plaza d’avoir une entreprise pour pouvoir travailler
Plus clairement : qu’une entreprise qui n’a que 30 jours sur les 365 de l’année pour mener à bien son activité, en seulement quatre ou cinq spectacles, doive débourser 60 000 euros, c’est un braquage. C’est un droit de seigneur médiéval qui admet la Junte d’Andalousiequi a le pouvoir sur cette affaire.
C’est un mensonge que les administrations publiques et les politiciens soient en faveur de la tauromachie. Ou, s’ils y vont, il s’avère qu’ils n’entrent pas pleinement dans la promotion de son développement. Il est pour le moins inouï que le Junte d’Andalousie, tellement habitué à prendre la photo électorale à côté de la tauromachie, à côté de la Fondation, ne plaisante pas avec une affaire qui te concerne. Parce qu’il a assez de puissance pour déboucher ce gâchis. Parce que Cadix est Andalousie, et est la province emblématique de la tauromachie. On ne peut pas continuellement parler de promotion et d’aide à la tauromachie et regarder le ciel dans des domaines comme la gestion d’une arène dont la rentabilité et la promotion de la tauromachie sont immenses. Et qu’il est très petit à cause d’enchères absurdes et abusives.
Qu’une entreprise qui n’a que 30 jours sur 365 par an pour exercer son activité, en seulement quatre ou cinq spectacles, doive débourser 60 000 euros, c’est du vol
Qu’avec le cao de l’IBI ils rendent un Patrimoine Chloral des Espagnols irréalisable dans son activité. Le port pas un mini royaume taifa ou une ferme derrière l’intérêt général du peuple. Même pas derrière l’intérêt général de la tauromachie. s’ils veulent ça Le port être un nouveau Oviedoils l’obtiennent.