ANDRÉ VIARD

Thomas Dufau a eu le plus de sens de l’après-midi devant le quatrième taureau de Cuillé, un châtaignier bien fait, attaché avec des pythons, qu’il a rencontré dans le manteau de idiot et il prit un bâton sans soufflet d’où sortait quelque chose de faible. Il galopait bien dans le manteau de Marco Loyal et Mathieu Guillon salué en banderilles. idiot compris que, bien que immobile, celui de Cuillé Il avait une bonne expérience et il a choisi de le presser dans une tâche de plus. Le taureau a répondu, il y a eu un lien et toute la fente, jointe à la ferveur de « son » public, a justifié les deux oreilles de son dernier taureau dans cette arène. Il est revenu avec ses enfants.

Le premier taureau de Cuillé et de son sort il a pris un bon départ, il a avalé avec noblesse la faillite de Baptiste Borders, Il a été courageux dans un coup de poing bien mesuré, et a ensuite trébuché dans le coup de pied. bon combat de Mathieu Guillon où la qualité du taureau a été vu. sans preuve, idiot Il l’a reçu au centre pour deux changements avant d’entamer une belle course à droite où le taureau a confirmé sa bonne condition. Même après avoir perdu le casque de sa main gauche, il a gentiment suivi la béquille de idiot qui l’a combattu à l’aise avant de cliquer, de quitter un tout et de le terminer de manière folle. La demande ne s’est pas concrétisée. Palmiers.

L’autre tâche la plus réussie de l’après-midi est venue dans la cinquième, bien faite, caillée et précieuse, qui s’est magnifiquement enfoncée dans le manteau de Canton dorien qui la pressa et la porta avec tempérance. Le taureau n’a pas duré au-dessus de ce taux et est tombé deux fois avant le coup de poing et une fois après. Canton Il a très bien géré les quelques forces de l’animal pour profiter de sa classe évidente dans plusieurs béquilles très bien luttées et portées, mais « quand ça ne se peut pas… ». Visiblement, Agusto a beaucoup rallongé l’abattage, le public l’a remercié pour son effort mais il a dû tuer un taureau debout, et il a crevé avant d’en laisser un entier. Oreille

Le deuxième, premier du lot de Canton, de moins de vêtements, courts et bien coupés, il bougea, laissant son visage aller vers la gauche dans le manteau. Il s’est allumé sur une tige et est tombé par la suite. grillé le taureau Canton pour idiot avant de se heurter aux options nulles qu’il lui proposait en raison de son manque de force. Très immobile, les taureaux chargent un à un sans continuité, sans émotion ni malice. Canton il a tout essayé en vain et a été remercié pour l’intention. Puis il a crevé avant de sortir un bon tout et un coup pissant. Palmiers.

Le sixième, un joli brun foncé devant, deuxième de Yon Lamothe, il chargea avidement dans le manteau et courageusement dans un bâton. lamothe l’a donné au public. Après le deuxième tour, le taureau, plein de bonnes intentions, a perdu son soufflet initial et a menacé de s’arrêter. Cependant, lorsque lamothe Il l’a cité brièvement, s’est précipité d’en bas et a répété, jusqu’à ce qu’il se dégage. lamothe il s’est efforcé de tirer le meilleur parti de lui, terminant sa tâche par un tour à droite dans lequel, couvrant habilement son visage, il a réussi à le rendre jaloux. Il a ensuite cliqué deux fois avant de laisser tout un arrière écouter un appel et prendre quelque chose de sauvage en main.

La troisième, une jolie châtaigne, courte et caillée, chargea nettement mais sans trop de zèle dans le manteau de Yon Lamothe. celui de Cuillé, offert au public, humilié par les deux pythons mais sans zèle. lamothe Il a laissé quelques béquilles de qualité mais peu de liaison du fait du peu de transmission du taureau. Il a entendu un avertissement avant la première crevaison et a laissé une fente arrière. Pétition minoritaire. Salut au troisième.

Feuille de célébration :

arène de Villeneuve de Marsan (France). Course de taureaux. Plein. taureaux de Cuille, de bonne présence et de jeu inégal.

THOMAS DUFAU, paumes et deux oreilles

CANTON DORIEN, paumes et oreille

YON LAMOTHE, Je salue le troisième après avis et silence.

Incidents : Les clubs de supporters et les organisateurs ont rendu un vibrant (et long) hommage à Thomas Dufau, qui a dit au revoir à la place de sa ville où il a commencé sa carrière et s’est battu chaque année. Mathieu Guillon il a mis pied à terre après avoir apparié le quatrième.