D.Dix ans séparent les deux images prises dans le Arnedo Arena. Une décennie de triomphes continus, presque comme une routine, d’effort, de dévouement, de discipline, de croissance, de maturité… et aussi de goring. Dix ans pendant lesquels cet enfant venu de Pérou à la poursuite d’un rêve, il est devenu, petit à petit, un homme. Ou plutôt… Chez l’homme que tout le monde attend comme la pluie en mai à leurs foires sous le soi-disant ‘boom‘ soit ‘effetrocher roi.

Le dimanche 17 mars, 2013, un très jeune Andrés Roca Rey est apparu en Espagne comme torero sans picadores. cette fin de chaussure d’argent Ce serait la première apparition sur le sol espagnol d’un Péruvien qui vient d’avoir seize ans et qui est sous la tutelle de José Antonio Campuzano Il cherchait intensément un rêve à la portée des élus : être une figure taurine.

L’année suivante rocher roidans sa première saison en tant que torero avec des picadores, a mis le pied sur l’Arnedo Arena pour participer à la chaussure dorée. Cet après-midi-là, l’homme de Lima se coupa deux oreilles devant une corrida compliquée de Fernando Pena et a réussi à ouvrir le Grande porte, étant le seul torero de toute la série à le faire. Malgré cela, le jury a décerné le prestigieux prix à Ginés Marín, avec qui il avait une rivalité étroite dans l’arène.

Depuis lors, Roca Rey n’était pas revenue à Arnedo. Pendant tout ce temps, le Péruvien s’est hissé au sommet de la tauromachie, transformant ce rêve d’adolescent en réalité. Dimanche dernier, il était temps de faire votre présentation comme torero de la tauromachie dans cette arène de La Rioja, celle dans laquelle il a mis les pieds pour la première fois il y a dix ans vêtu de lumières vêtu d’un costume de canne et d’or.

Personne ne voulait manquer ce rendez-vous dans un tête-à-tête passionnant avec le torero local, Diego Urdialeset comme prévu, rocher roi raccroché le « Pas de billets » Au box-office Événement inhabituel, puisqu’en Arnedo Tout le papier n’avait pas été vendu depuis l’inauguration de la couverture en 2010 avec Julio Aparicio, José Tomás et Diego Urdiales lui-même à l’affiche. Dix ans plus tard… cet enfant prodige est revenu au sommet de la tauromachie mondiale.

Un fait qui lui appartient rocher roi vous vouliez vous souvenir dans votre compte Instagram: ‘ARNEDO ! Ici, j’ai fait mes débuts sans picadores, tout a commencé ici en Espagne et hier, je me suis senti privilégié de fouler à nouveau cette arène ! MERCI’