Bilbao c’est au-dessus des taureaux une foire où le taureau est exalté. La Taureau de Bilbao il est historiquement un taureau très défini dans le champ rugueux, une affirmation très solide entre les éleveurs et les fans. Parler de Bilbao Il s’agit fondamentalement d’une arène où l’on rend hommage au taureau de combat et où les troupeaux se débattent avec la tête de la litière.

Le prestige de Bilbao Il est donné par deux facteurs : l’importance du taureau qui est combattu, le luxe de ses combinaisons avec les chiffres pariant sur Bilbao comme cette année ils le font deux après-midi rocher roi Oui Julian Lopez ‘El Juli’. A ces deux accessoires il faut en ajouter un troisième : la catégorie de votre public.

Le maillon élevage s’appuie cette saison sur un végétal spectaculaire : Dolores Aguirre, Garcigrande, Victoriano del Rio, Santiago Domecq, Miura, Puerto de San Lorenzo et Domingo Hernándezen plus de la reprise des corridas avec pics, à cette occasion avec un confinement exemplaire de l’éleveur de Bilbao José Cruz.

La tradition Bilbao Torista l’a défendu plus et mieux que quiconque, Don Luis Diaz de Lezanaqui était président de la Conseil d’administration de Vista Alegre. Lors d’une conférence bien connue donnée à l’exceptionnelle société Bilbaina le 1er mars 2007, il a expliqué le lien qui existait au fil des ans entre le Toro bravo et le passe-temps de la tauromachie bochera.

‘Le passe-temps de Bilbao c’est incontestablement torista. L’entreprise, conformément au sentiment tauromachique des fans de Bilbao, suit le taureau tout au long de l’année, depuis le moment où la sélection est faite sur le terrain jusqu’à ce qu’il atterrisse Bilbao à traiter », Il déclara avant de se souvenir : « Pour cette place, les chefs des portées sont toujours requis, essayant de rendre la corrida égale. »

Dans la conférence, Diaz de Lezana estimé: ‘S’occuper du taureau rend Bilbao s’est distingué tout au long de sa longue histoire en obtenant les chiffres pour poignarder un taureau très sérieux dans cette arène, un engagement à Bilbao et son passe-temps, de Manolete, Antonio Ordonez Soit Enrique Ponce’.