6e cigarette, 586 kilos.

Grand, grand, plus grossier. Il s’arrête en sortant de l’embroque, sans finir de bouger. Bien haché le taureau par Chocolat dans trois mètres, le dernier déchirant de loin.

Le taureau a été emmené au troisième romain et a commencé à se battre avec son pied gauche. Le taureau retardé par l’un et l’autre python, se précipita sans livraison et sans déplacement. La tâche n’a pas pris son envol.

5ème Pegbox, 600 kilos.

Le cinquième est impressionnant. Grand, large, surmonté. Avec un grand volume et un sérieux énorme. Sortie froide. Sans finition d’utilisation. Il s’est laissé frapper lors du premier match, s’endormant sur la cuirasse. Il s’est repoussé au deuxième bâton. Toujours très lâche. Il a coupé en banderilles, et malgré le fait que le taureau avait quatre bâtons sur le dos, le président, qui en sait beaucoup, a insisté pour ne pas changer le troisième, avec les capotazos et les fausses passes qui en découlent. Tous en faveur du combat. Et le torero. Bien sûr.

Il a donné le taureau à la famille Chopera et repartit sans plus tarder. Très ferme, très provoqué, il a d’abord réussi à voler une série avec sa main droite, mais ensuite le taureau a tardé, mesuré et a toujours voulu enlever vicieusement la tromperie de son visage. n’a pas perdu la foi Damien Castano malgré la réserve de l’animal. Fente et piquage croisés.

4e Bilbatero, 580 kilos.

Longueur du faisceau le quatrième dynamitage. Engatilledo d’andouillers, étroit de tempes, avec cou. Avec de la présure et une bonne expression. Il a chargé avec peu de livraison et peu de rythme jusqu’au cap de Bolívar. Il a pris le premier coup à la relance, avec le cheval non placé. Il a pris le deuxième coup de milieu de gamme, déchirant avec joie. Il a poussé sur la cuirasse bien qu’il soit tombé en arrière. Le taureau se déplaçait en banderilles, mais bien à son rythme, sans se fixer.

Les travaux ont commencé Bolívar au fil des tableaux avant de presque le sortir des médias. Le taureau chargea sans rythme, instable. Il a également échoué dans la série suivante. Reconstitution des crachats inachevés des vols. Le caleno a renoncé. Piquer et fendre.

3e Argelón, 575 kilos.

Long, fin, dressé, couvert de bois, le troisième colorado. Il avait plus de tempérament de sortie au cap de romain. Il a pris le premier coup de poing à la relance, dans l’hélico qui était la porte. Il s’est laissé frapper sur le deuxième bâton. Le taureau se déplaçait en banderilles, coupant dans la dernière paire.

donné au public romain, qui a donné des mètres au taureau et a commencé à se battre, directement par le python droit. Il est revenu lui donner de la distance dans la série suivante, le taureau est venu avec une foulée, douce, mais il n’a pas voulu serrer et le torero a manqué de tact et de pouls dans l’embroque. Cela a conduit l’animal à mesurer le sable à l’occasion. Le valencien raccourcit davantage la distance, mais sans inertie le taureau protesta davantage et vint désarmer le torero. Du côté gauche, le taureau n’avait ni rythme ni continuité. A son retour vers la droite l’animal est déjà très bas et romain il va chercher l’acier. Fente avant.

2ème Carafea, 552 kilos.

Plus fine la seconde éclaboussée, plus de tempes rassemblées. Mieux fait. Il manque de zèle au cap de Damien Castano. L’homme cornu a protesté lors de la première réunion, à son rythme. Il s’est détaché du deuxième poteau. Le taureau suivait sans fixité dans les banderilles, où il attendait et serrait les banderilleros, levant la tête et montrant toujours de l’affection.

Il a commencé à se battre directement Damien Castano. A droite python, sans préambule. Très déterminé, très convaincu aussi. Laissant la béquille dans son visage, le provoquant avec sa voix, il parvient à démarrer la musique car le fretting a de l’intensité. Et l’émotion. Le tout très bien assemblé. Sans laisser le taureau réfléchir. Ni choisir. Il l’a essayé pour le python gaucher, mais de cette façon, il a pu encaisser moins d’assauts et le taureau est allé à un match nul sans dissimulation. C’est pourquoi il est rapidement revenu à la main droite et, en la serrant, a obtenu la meilleure série du travail. Énorme. Par la soumission et la profondeur. Il a été esquissé de loin et percé deux fois avant de porter le coup final. Une vraie oreille avait disparu.

1º Malagueño, 634 kilos.

Grand, grossier, dressé, large, louché du droit python le premier, qui n’a pas fini de se déplacer sur le cap de Bolívar. Ils ont couvert sa sortie dans le premier coup de poing, qui est tombé par derrière. Moins a été utilisé lors de la deuxième réunion. Il coupa en banderilles, sans s’humilier ni tomber court au cap de Ivan García.

Il n’a pas réussi à marquer des passes de Bolívar, qui a été placé avec la main droite, entre les lignes. Le taureau très orienté, vient au pas, mesurant, sans humilier et sans bouger. il était très professionnel Bolívar, gagnant un pas, le provoquant et le béquille à l’extérieur, il réussit à voler des passes à travers le piton droit. Même à la deuxième attaque, il a prescrit une grande fente, le taureau couvrant sa sortie.

Feuille de célébration :

arène de Vista Alegre (Bilbao). Deuxième des corridas générales. Une pièce d’entrée. taureaux de Dolorès Aguirre, sérieux, fort, inégal dans la forme, les couches et la typologie. Course de peu d’options, pour la plupart géniales. Sans fond. Le second, qui apprivoisait mais avait vingt démarrages avec vibration, était le meilleur.

Louis Bolivarsilence et silence

Damien Brunretour sur le ring et ovation

• ROMAINovation et silence

Héctor Piña et Santiago Morales Chocolate se sont démarqués à cheval.