TONI SANCHEZ

Borja jimenez est aux portes d’un rendez-vous à la fois illusoire et responsable : son confirmation d’alternative dans Les ventes. Le torero sévillan a dû attendre huit ans pour mettre les pieds dans les arènes en tant que torero Madrid. Une date marquée en rouge sur son calendrier et pour laquelle il se prépare consciencieusement à Salamanque accompagné de son avocat Julien Guerra: «La préparation est très intense, en plus de beaucoup de formation en classe. J’évolue beaucoup grâce à mon agent et si Dieu veut que les choses se passent bien.

Le plus jeune des frères Jiménez parle à mundotoro profitant des rayons de soleil d’un après-midi de printemps dans la cité charra : « Je suis très excité et tenu pour responsabletout en étant très reconnaissant à carré 1 pour m’avoir fait confiance et m’avoir donné l’opportunité de confirmer une alternative à une date aussi importante que Dimanche de Pâques‘.

Jiménez estime que sa tauromachie n’a pas encore été découverte par le fan : « Ils me connaissaient comme torero mais après cette pause dans ma carrière, ma tauromachie a fait un pas en avant et s’est évoluédonc je pense que je vais de surprendre et tu peux me mettre sur le chemin‘. Celui d’Espartinas est annoncé dans Les ventes avec une corrida avec le fer de Les Ramblasqui valorise positivement : ‘C’est une super l’élevage du bétail et en plus du goût de Madrid. Les taureaux sortent avec beaucoup de catégorie et c’est idéal pouvoir triompher sur cette place où les personnages l’ont toujours tuée ».

« Je pense que je vais surprendre les fans et cela peut me remettre sur la bonne voie »

L’objectif qui marque Borja Jiménez c’est réussir : ‘C’est ce dont j’ai besoin pour continuer à avancer dans ma carrière. C’est un jour qu’est-ce que ça va être décisif pour mon avenir‘. Le sévillan arrive à Las Ventas à un moment extraordinaire après avoir récolté des victoires en cantillaneoù il est parti sur ses épaules après avoir coupé deux oreilles d’un taureau de Fontaine d’Ymbro; et en Cercédille. Borja Jiménez se souvient de l’après-midi à Cercedilla : « C’était important pour moi car malgré le coup de vent je me sentais bien. Avec le premier taureau, on pouvait en voir un autre facette de ma tauromachie contre des taureaux plus compliqués. Au second de mon sort, qui était très noble, j’ai coupé une oreille après un bon travail, mais avec lequel j’ai j’ai livré c’était vraiment le dernier. J’ai pu frapper ce taureau de Guadajira béquilles comment je les forme dans le salon et comment je peux les réaliser sur le terrain. Je suis très content et très excité d’aller de l’avant ».

Ce triomphe en Cercédille il a mis sur un plateau le laissez-passer pour les demi-finales du Coupe Chenelengagement qui aura lieu samedi prochain le 15 à San Agustín de Guadalixoù il combattra une corrida Baltasar Iban et Cuadri. Le lendemain, Borja Jiménez fera le paseíllo dans le Maestranza royale de cavalerie à Séville. Une semaine que le torero lui-même qualifie de « décisive pour ma carrière ».

Avant de terminer notre conversation, Borja Jiménez déclare que la figure de son frère Javier a été fondamental dans ce temps d’attente qui s’est produit dans la carrière du torero : « Dans les moments de ralentissement, quand on doute sur ce qu’il adviendra de lui avenir, il y a eu mon frère. Il a un esprit très fort et m’a toujours attiré ‘. ‘Sincèrement‘, conclut Borja, ‘grâce à lui, c’est ce que j’ai suivi dans le lutte courir après mon rêve être au sommet de la tauromachie ».