Guillermo Leal
La corrida sponsorisée par le Anges taurins dans le Palais d’Art de Morelia C’était le décor idéal pour le torero mexicain Bruno Aloi concevoir l’espoir qu’il soit très proche d’être l’une des figures dont les rangs de Novilleril ont besoin dans Mexique.
L’éclat de son triomphe, les deux oreilles qu’il a eues avec le premier des Torreón de Cañas et la queue qu’il a coupée à l’un des Ruisseau Zarco, Ils le mettent comme l’une des promesses les plus fortes à arriver, s’ils prennent bien soin de lui et s’il garde ses chaussures sur le ring comme jusqu’à présent, chez un torero qui a de l’importance. Il a des qualités. Hier, ses tâches étaient basées sur le courage, l’intelligence et lorsque ses chevaux le permettaient, le tempérament et le naturel de la classe qu’il possède.
Il n’a rien de préconçu, tout s’enchaîne spontanément et il exécute les mêmes verónicas, chicuelinas, tafalleras, gaoneras, revoleras ou finitions voyantes qui donnent aux débuts de ses tâches éclat et intérêt.
Puis avec la béquille, comme hier, il y a de la fermeté, de l’humeur, une main basse et, surtout, il se place près des pitons pour que, soutenus par la variété, ses tâches montent comme de l’écume. Il a parfaitement compris ses deux bouvillons, leurs qualités et leurs défauts, mais le plus remarquable est l’intelligence avec laquelle il résout toutes les situations face aux taureaux.
Les deux coups avec lesquels il signait ses tâches lui permirent de couper deux oreilles du premier et les deux ainsi que la queue du second. Les cinq trophées ont été réclamés par le public, faisant pression sur le juge qui a été prudent dans leur attribution pour éviter d’être généreux, donc une victoire que le public approuve avec conviction et unanimement a beaucoup plus de valeur.
Hier Bruno des fans convaincus Michoacán, Comme il l’avait déjà fait avec les hydrocalides, les habitants de la capitale, lorsqu’il surprit et sortit sur leurs épaules en Flux, et même les exigeants habitants de Guadalajara. reviendra à Espagne Eh bien, cette année, pour lui, il y a des objectifs clairs et précis qu’il doit atteindre, ce qui ne fait aucun doute car le jeune torero mexicain a ce qu’il faut.
À côté de ce triomphe retentissant et puissant, les performances des toreros français César Fernández (d’un père mexicain, le célèbre « Quitos ») et de Lalo de Maria (fils de Marie Sara) qui ont montré leurs qualités et ont coupé une oreille à chacun.
Fernandez avec ses détails d’humeur et la superbe fente qu’il a donnée à son second et qui lui a valu la victoire, en plus de son envie de réaffirmer qu’en en donnant une qui était compliquée et malgré le fait qu’il s’est retourné deux fois, il a résisté à lui jusqu’au bout.
De Marie qui avait rempli son premier but, tombé en ruine, a apprécié et enthousiasmé avec son deuxième, qu’il a combattu avec grandeur et profondeur. C’est un torero aux belles manières qui a besoin d’un torero avec lequel s’adapter à son style, mais il n’est pas sans personnalité, il a aussi le soutien et la conviction d’un torero comme José Antonio Campuzano qui a cimenté la carrière de deux grandes figures taurines : le Français Sébastien Castella, le droitier français le plus important de l’histoire ; et le péruvien Andrés Roca Rey, chiffre maximum aujourd’hui.
Et quand quelqu’un avec cette perception surveille un torero, c’est pour une raison. La célébration s’est terminée Andrés García « Ardillo », frère de « Le Payo », qui, après sa première représentation qu’il connaissait peu, s’est montré dans sa seconde comme un torero complet, avec une main basse, une silhouette droite, qui exécutait l’un des meilleurs muletazos vus dans l’après-midi. Sa tâche, qui n’était pas sans danger puisque l’homme de Querétaro avait été renversé d’une manière vilaine, a été gâchée par l’épée, sinon les coupures d’oreilles auraient également augmenté. La corrida organisée par Anges taurins C’est un de ceux qui soutiennent l’émergence des fans car il y avait de l’émotion, de l’art et du dévouement.
Place Palacio del Arte (Mexique) – Des bouvillons de Ruisseau Zarco et San Fernando, et de Garder De gris, fort en travail et avec un comportement courageux et une mobilité, dont le troisième se distinguait, qu’il chérissait Aloï. César Fernández, paumes, oreille et retour sur le ring ; Lalo de María, un avis et une oreille ; Bruno Aloi, deux oreilles et deux oreilles et queue ; et Andrés García : au troisième après demande et au troisième après mise en demeure.
Détails: Les banderilleros se sont démarqués Hector Garcia, qui est sorti au troisième, et Claudio Montiel et Rogelio Sánchez, ainsi que les picadors Richard et Érick Morales.