toia Valence cette atmosphère de poudre à canon qui inonde tout le monde dès le premier instant où ils mettent le pied dans la ville. Et cette ville méditerranéenne a aussi le caractère de faire vivre aux étrangers ses festivités au coup de pétards. C’est précisément cette poudre à canon qui marque l’idiosyncrasie de ce festival qui a été incendiée. cajetan et romain dans la première corrida du les échecs, qui a également enregistré de la chaleur -au-delà de la météo- et une bonne ambiance sur les lignes. à la droite de Rond, le président lui a refusé la deuxième oreille du quatrième après une tâche de grande course et de galanterie, tandis que l’épée l’a fermée au valencien. Celui-ci a caillé un après-midi de mentalité fraîche, mais avec l’accélérateur enfoncé, qui a pu comprendre les distances du deuxième et la bravoure du cinquième. Gines Marin Il a donné une bonne dimension et il ne lui reste plus qu’à se faire attaquer par un taureau, puisque le pire lot d’une corrida intéressante de Montalvo, qui a combattu jusqu’à trois taureaux avec des chances.

La force de l’explosion avait le début de la tâche sur une béquille avec les deux genoux sur le sol de cajetan au quatrième, un taureau avec une lame imposante qui a commencé à attaquer avec transmission à la béquille. Avec une position carrée, le droitier a effectué plusieurs séries de livraison et de course partout, mais accompagnées d’une tauromachie lente et calme. Trois à droite et un de plus à gauche, celui-ci avec presque aucune touche, faisant confiance aux vols pour tirer l’attaque, étaient la structure de la tâche. Le bon taureau de Salamanque a perdu son soufflet logique au fur et à mesure que le combat se développait en raison de sa charge livrée, le remplaçant cajetan avec divers ornements de grande dentelle d’un public qui vivait fortement des lignes tout ce qui se passait dans l’arène. La fente, de droit et faisant en sorte que les pitons laissent leur empreinte sur la cuisse du torero, était au top. Le public a fortement demandé les deux oreilles, mais le président n’en a accordé qu’une, tandis que le taureau a été rapidement entraîné sous une ovation.

Celui qui ouvrait la place avait cependant un comportement incertain, pressant vers l’intérieur, avec plus de longueur dans les attaques vers les tables et restant plus court lorsque les lignes n’étaient pas parallèles et vers l’extérieur. Le vent n’a pas aidé non plus, ni la terre où le travail a été effectué dans un contre-jour constant, pour dominer l’assaut -même court bien sûr lorsqu’il est excessivement demandé- du taureau de Salamanque. Beaucoup de nuances. cajetan il l’a expédié avec une bonne poussée.

l’après-midi de romain C’était le reflet devant ses compatriotes d’un torero qui garde l’herbe dans sa bouche. Eh bien, bien que l’accélérateur ait toujours été enfoncé, il n’a jamais dépassé le régime. Le cinquième était le taureau le plus courageux de l’encierro, recevant deux coups de poing arrière de trop qu’il serra avec ses reins. Les travaux ont commencé – avec Cible fleurie incluse– Le Valencien avec une série sur la main droite avec les deux genoux au sol. Avec autant de bruit sur les lignes, il a voulu boucler la boucle avec une passe échangée contre le dos d’agenouillement. Le taureau a été ouvert excessivement, le voyage a tourné court et le torero, à la merci. Une culbute dont il s’est finalement débarrassé sans conséquences.

Taureau et torero sont restés dans les médias Valence en trois lots sur la main droite d’émotion pure. Pour la bravoure et la livraison. Béquilles à main basse, exigeant beaucoup du taureau. Cependant, le bravo ‘Montalvo’ blessé et rétréci. Puis une à une les béquilles sont arrivées, très frontales, et porteuses de beaucoup de chance. Avait le Grande porte romaine ouvert de son carré, mais, encore une fois, la clef s’est prise sur le tranchant de l’épée.

Oui, l’épée a voyagé avec précision dans la seconde, un taureau de grande classe et rythme, mesuré en force, auquel romain il s’est coupé une oreille. Il était intelligent dans le terrain et les espaces, consolidant d’abord l’attaque, puis l’exigeant. Avec la ligne courbe, il était plus difficile pour le taureau de répéter, il a donc terminé son travail dans les zones suburbaines.

l’après-midi de Gines Marin a donné l’image qu’il n’a besoin que d’un taureau qui béliers, parce que le moment l’a. Il a su tirer l’attaque au pas de l’embroque du troisième et s’est tenu debout jusqu’au doux sixième tout au long de la place. Dommage que son travail n’ait pas été reconnu avec les ovations que sa maîtrise technique méritait. Cependant, la poudre à canon, dans ce cas, a couru dans ce cas dans les mains de cajetan et romain. Et ce sentiment ne peut être compris qu’en étant dans Valence.

Feuille de célébration :

arène de Valence. Première édition de la Foire des Fallas. Un peu plus d’un demi-carré. taureaux de Montalvo, très bien présenté, sérieux et de bonne facture. Du jeu intéressant dans son ensemble. Le cinquième brave s’est démarqué; la quarte importante et la classe et le rythme de la seconde, plus mesurée dans sa force. Manso le sixième. Incertain le premier et le troisième, sans livraison.

CAYÉTANO, silence et oreille avec forte demande de la seconde

ROMAIN, oreille et ovation

GINES MARIN, silence et palmiers