ETle projet « Cinéma seniors », une aide de 10 millions d’euros approuvée par l’ancien ministre de Culture, Miguel Iceta, s’est conclu par un grand échec. La disposition, en charge de la Budgets généraux de l’État 2023, est resté presque entièrement dans les caisses du gouvernement. Il y en avait 10 millions destinés à promouvoir la consommation cinématographique des Espagnols de plus de 65 ans. Parmi les 420 chambres choisies partout Espagne, seuls 28 ont épuisé la subvention. Selon les données fournies par le Gouvernement, 392 salles n’en ont pas consommé. L’aide consistait en une baisse du prix d’entrée jusqu’à deux euros pour les plus de 65 ans, en payant la Gouvernement la différence. Cet énorme échec d’une nouvelle aide au cinéma ami, à la culture cinématographique, contraste radicalement avec le traitement que les arènes maintiennent envers le retraité en Espagne. Sans subventions et charge de gestion privée.
Il s’avère que le cinéma et la culture en Espagne cache une réalité pathétique, injuste et sectaire. Seulement 6% des plus de 65 ans vont au cinéma au moins une fois, selon les données du Ministère de la Culture. Autrement dit, seulement 19 % des personnes de plus de 65 ans Espagne Regardez un film au moins un an. En milieu rural, l’accès à la culture cinématographique pour les personnes de plus de 65 ans en Espagne Cela n’atteint pas 1,7% de cette tranche de la population. La conclusion est on ne peut plus pathétiquement sectaire : le cinéma, avec une dotation d’aides directes de plus de 110 millions d’euros, à laquelle il faut ajouter les aides à la production des communautés autonomes (au total dépassant 230 millions) n’est pas une culture accessible à tous. nos aînés, il n’est pas accessible à plus de 9 millions de personnes en Espagne. Le cinéma est urbain et il s’adresse aux jeunes. Une réalité culturelle quelque peu étrange.
Le discours culturel dans Espagne C’est le blanchiment politique du sectarisme
Seulement dans Les ventes2 100 retraités bénéficient d’un abonnement gratuit, subventionné par Carré1, entreprise privée. À ce chiffre, il faut ajouter les pass et billets payants achetés par les plus de 65 ans. Dans toutes les arènes, il existe des prix plus bas pour faciliter l’accès aux retraités ou aux personnes de plus de cet âge, ainsi que des prix très bas pour les jeunes. Tout cela sans subventions ni aides d’aucune sorte. La culture de Corrida, avec environ 1 400 fêtes réglementées et près de 19 000 fêtes populaires, offre un accès prioritaire aux plus de 65 ans. De telle sorte que plus de 31 % des Espagnols de cette tranche d’âge consomment la culture taurine, contre 6 % pour le cinéma.
Espagne C’est un pays dont la population de plus de 65 ans représente déjà près de 20 % du total recensé. Le traitement réservé à cette importante tranche humaine en matière d’accès à la culture est typique d’un pays de barbares. La culture gérée par les administrations et surtout par le Gouvernement est sectaire pour toutes. Les dispositions qui proviennent du PGE Le cinéma, le théâtre, la musique et autres événements « culturels » n’irriguent pas nos aînés. Il s’agit d’une subvention urbaine et sectaire car elle cible une tranche d’âge majoritairement comprise entre 25 et 55 ans. Et tout cela enveloppé dans une idée politique de progrès, d’égalité de traitement et de tolérance, comme l’a déclaré le nouveau ministre Urtasun. Une erreur et/ou un mensonge.
La Corrida, avec les chiffres du Gouvernement lui-même, est l’activité culturelle qui facilite le plus et le mieux l’accès aux secteurs les plus faibles et les plus fragiles économiquement : les plus de 65 ans et les plus jeunes. Le plus juste, le non sectaire et celui qui n’a pas un seul euro de subvention dans le PGE.
Le discours culturel dans Espagne C’est un blanchiment politique du sectarisme. Quelque 20 millions d’Espagnols, âgés de plus de 65 ans, avec peu d’impact sur le RRSS, avec une vie silencieuse, vivent méprisés par la culture administrative/politique dont l’action vise à entériner une posture de progrès vers un segment urbain, actif dans le RRSS, et doté d’une activité sociale. Le marché du cinéma, dépassé mondialement par les plateformes de paiement à la demande, est porté par Espagne pour les aides publiques, l’argent de tous, notamment les cotisations des personnes âgées tout au long de leur vie professionnelle, qui ne leur parviennent cependant pas en usufruit culturel. Une culture politique injuste et sectaire pour 20 millions de citoyens traités comme de simples chiffres. C’est comme si les aînés étaient une masse suspecte et non active, dégradée par rapport au secteur plus jeune qui est doté de toutes sortes de positivité, par rapport à la vision et à l’attitude d’ignorance que le progressisme politique a envers les retraités. Un être socialement inutile car déjà improductif.
Toute cette réalité a son exception dans le cas de Corrida, qui, avec les chiffres du Gouvernement lui-même, est l’activité culturelle qui facilite le plus et le mieux l’accès aux secteurs les plus faibles et les plus fragiles économiquement : les plus de 65 ans et les plus jeunes. La véritable culture populaire et progressiste est celle de Corrida. Le plus juste, le non sectaire et celui qui n’a pas un seul euro de subvention dans le PGE.