Pablo Páez C’est un torero sévillan qui porte avec lui le concept le plus pur de l’école sévillane, et c’est que cet homme droitier a bu à la fontaine du maestro Luis de Pauloba, qui lui a inculqué le maximum d’expression et de tauromachie de l’essence de Séville.

Il concentre actuellement la saison avec l’idée claire de frapper la table à La Maestranza qui lui donnera un coup de pouce pour pouvoir se positionner dans les principales foires taurines avec des picadores.

Comment affrontez-vous cette saison ?

  • Cette saison, j’y fais face avec beaucoup d’enthousiasme et l’envie d’être encore plus connue pour pouvoir figurer dans les grandes foires taurines. Commencer l’année par une corrida le 30 avril et s’installer à Séville est un luxe et une formidable illusion.

Les entraînements s’intensifient-ils pour Séville ?

  • L’entraînement n’a pas cessé depuis la fin de la saison, je me suis entraîné tous les jours comme si j’allais combattre le lendemain, mais maintenant que le camp et ainsi de suite ont commencé, ils ont beaucoup plus augmenté. Mais je ne prépare pas seulement Séville en particulier, je prépare tout ce qui peut arriver.

Comment affrontez-vous le rendez-vous à Séville ?

  • J’affronte le rendez-vous avec Séville avec beaucoup d’enthousiasme et surtout avec la responsabilité de reprendre l’atelier après trois ans. Mon engagement envers Séville est toujours grand car c’est ici que j’ai été formé comme torero et où j’ai vécu pendant tant d’années. C’est comme se battre à la maison, l’endroit et ses habitants sont toujours spéciaux.

Pensez-vous qu’il est possible d’entrer dans les principales foires taurines?

  • OUI, je le vois comme possible puisque je suis dans un moment plus mature et avec des choses très claires, pour cela je sais que je dois montrer mon visage dans tous les engagements et que des choses importantes se produisent. Comme vous le savez bien dans cette profession, personne ne donne rien, mais je suis sûr que cela peut être comme ça, si Dieu le veut.

Qu’avez-vous retenu du Circuit andalou des génisses ?

  • Le Circuito de Novilladas de Andalucía était très important pour moi, mon nom a été vu dans une échelle dans laquelle il est très difficile d’être là. Cela m’a beaucoup aidé en tant que torero et en tant que personne de pouvoir participer au circuit. Mais sans aucun doute, je prends le pardon de « Bribón » d’El Parralejo à Sanlúcar de Barrameda.

Quel après-midi de la saison dernière gardes-tu ?

  • Comme je vous l’ai déjà dit, sans aucun doute avec le pardon à Sanlúcar de Barrameda, ce fut un après-midi particulièrement important personnellement.

Pour ceux qui ne vous connaissent pas, à quoi ressemble le concept de tauromachie de Pablo Páez ?

  • Eh bien, la vérité est que je n’aime jamais me définir comme torero, mais je peux vous dire quel est mon concept ou les idées que j’essaie toujours de rechercher. Je cherche toujours à être puissant avec les animaux, à tout faire avec le maximum de dévouement possible et à toujours essayer d’être classique et pur.

Qu’est-ce que Luis de Pauloba a signifié pour vous ?

  • Luis de Pauloba a tout signifié dans ma carrière et continue de tout signifier, sans aucun doute qu’un grand torero comme lui vous enseigne dans votre enfance, puis prend possession de vous et vous guide dans votre carrière est quelque chose de très grand pour moi. C’est une personne qui dans la vie et dans les coulisses vous donne une confiance incroyable.

Que signifient pour vous tous ces followers qui vous suivent sur toutes les places ?

  • Bon aujourd’hui, comme je ne suis pas très connu, je n’ai pas grand chose à dire, mais il y a beaucoup de gens qui m’accompagnent dans tout ce que je fais et partout où je vais, famille, amis… J’ai même une Peña en France qui tous ses membres m’accompagnent toujours et pour moi c’est très agréable de pouvoir se rendre sur une place et de les voir toujours me soutenir quoi qu’il arrive.

Qui est Pablo Paez ?

  • Pablo Páez est une personne normale et calme, parfois haha ​​​​je dois toujours faire des projets après l’entraînement, que ce soit jouer au paddle-tennis, au football, à l’équitation… Mais surtout, profiter de ces projets avec mes personnes de confiance qui, sans un doute, ils ne seraient personne.

Auteur: Aïtor Vian
Photographies: LM Sierra, A. del Carmen, Juan Antonio Viedma, Eduardo Porcuna, JC Maestre, Sara Navarro, Yuste, Hugo Cortés, LM Rosa