Daniel Luqué Il va de triomphe en triomphe. Et il a encore une fois fait ressortir sa maîtrise et sa tauromachie dans Pedro Muñoz, coupant au total quatre épis à ses deux taureaux, après deux tâches différentes mais dans lesquelles la puissance et le tempérament des gerena Ils étaient présents. le fandi Il a promené les deux oreilles de chaque taureau de son lot dans un après-midi au cours duquel il a laissé son empreinte, montrant une fois de plus son métier et ses capacités. paco urena il s’est coupé une oreille dans la seconde de l’après-midi, avec laquelle il était très tempéré et auquel il s’est battu avec beaucoup de classe. Il n’a pas eu de chance avec le cinquième dans l’après-midi.
Daniel Luqué Il a une fois de plus démontré sa maîtrise et son grand état de forme après avoir réalisé une grande tâche le tiers de l’après-midi, basée sur le naturel, la douceur et le tempérament, embellissant les attaques d’un noble taureau. Elle a terminé le travail avec des luquenas très serrées qui ont mis le public sur ses pieds. Après une grande fente, il a marché deux oreilles. Le naturel a de nouveau brillé dans Daniel Luqué avec le sixième dans l’après-midi. Le droitier de gerena peu à peu il mettait le taureau sur la béquille. Le pouvoir et la tauromachie de Luc ils l’ont emporté sur un taureau de charges inégales. Une grande fente lui servit à marcher encore deux oreilles.
Marcher le fandi les deux épis du premier de l’après-midi, un beau taureau de force auquel le grenadin a su s’adapter. Dans le travail de la béquille, le fandi il a combattu le taureau à mi-hauteur, liant les béquilles et favorisant la charge du taureau, qui était terne. Une fente pleine et flétrissante lui a valu les deux oreilles. le fandi Il a dû tirer d’office pour pouvoir sortir quelque chose de la salle de l’après-midi, qui n’a pas été livrée mais à laquelle le droitier de Grenade il a pris des béquilles profondes. Il est entré pour tuer un taureau debout et a laissé une fente tombée mais efficace. Ses efforts et sa volonté ont été récompensés, car il a encore marché deux oreilles pour terminer l’après-midi.
Le deuxième de l’après-midi est parti, plus en manque de force que le précédent, auquel Uréna Il combattit avec douceur et tempérament, essayant d’empêcher le taureau de perdre ses mains. Le droitier a laissé des détails de haute qualité lorca, surtout avec sa main gauche, avec laquelle il a sorti des béquilles fermes et très classes. Il le dépassa d’une fente presque complète. Il s’est coupé une oreille. J’essaie paco urena au cinquième dans l’après-midi, un taureau sans transmission et qui a perdu ses mains dès que le droitier de lorca qui l’a serré Il a pris soin de lui tout au long de la tâche, cherchant à obtenir des béquilles fermes, mais le taureau n’a pas aidé. Il a crevé plusieurs fois et a dû utiliser le jonchage.