Cvec l’arrivée de la Pentecôte, la France s’habille d’un luxe authentique. Le bastion de sa tauromachie, Nîmes, accueille sa foire traditionnelle. Quatre jours intenses qui deviennent la référence taurine. Mais parler de cette ville, c’est aussi parler de Simón Casas, producteur de tout ce qui s’est passé au Coliseo pendant plus de 40 ans. Créateur d’une personnalité qui a fait de Nîmes le drapeau de la France taurine. A quelques jours du début d’un nouveau grand cycle, Casas se rend à Mundotoro pour apprendre toutes les clés d’un carré plein de personnalité.

« Nîmes c’est plus qu’une place »assure dès que la conversation s’engage Simon Casas. « C’est la ville où je suis né et à qui je dois tout. D’où, toujours mon dévouement depuis plus de 40 ans que je suis entrepreneur. Ce sont des jours nerveux, car j’ai toujours beaucoup d’émotions. De plus, il coïncide avec la foire de Saint Isidre, dont je suis également entrepreneur. Donc, ce sont des jours de beaucoup de pression, mais très beaux, car ce sont deux grands événements’tient.

La Foire de Pentecôte de Nîmes Il commence ce vendredi et se poursuivra jusqu’à lundi. Une foire aux incitations énormes, avec des affiches pour tous les goûts. Les figures, les jeunes, les toreros du moment et une présence importante de toreros et de novilleros français sont présents. ‘C’est une foire de grande classe. Cela commence par une affiche dans laquelle Tellez et de Manueldeux gagnants de Madrid, confirmer l’alternative. Et avec qui? précisément, avec Daniel Luqué, qui est l’un des toreros qui attire le plus l’attention dans les foires récentes et qui bénéficie d’une grande affiche dans France. De plus, les taureaux sont de Le Parraljo, qu’il s’agit d’un ranch émergent, mais qui a eu affaire à de gros taureaux, par exemple, dans Séville. C’est une affiche très originaletient.

‘Le lendemain, combat rocher roi, chiffre maximal ; avec Château, qui réapparaît dans Nîmes et Jean Loyal, un torero qui n’a pas encore élevé son toit, qui a un dévouement hors du commun et une grande capacité. Ce jour-là, la place sera remplie. Dimanche, une autre affiche de luxe avec Morante de la Puebla, José María Manzanares et Alexandre Talavante. L’expression artistique maximale avec le bétail de Cuvillo. Puis, lundi, c’est au tour du cheptel français Margarine, qui a reçu le prix de la meilleure corrida du sud-est, avec trois toreros également de France. Une foire qui se complète par un événement dans la corrida de rejones avec la main dans la main entre Léa Vicens et Guillermo Hermoso de Mendoza. Outre la corrida, avec trois toreros français et les utreros de enfant, vous avez eu une grande affiche ici. Il y a tous ceux qui devraient être à l’intérieur d’une foire qui a les limites des stands, mais qui est très adaptée à la sensibilité de ce hobby.’

La sensibilité des fans de Nîmes et c’est là que vous voyez la grande réussite de maisons de simon durant ces années : donner à une place son cachet, sa personnalité, mais sans se fermer à toute sorte de festivités. Une place avec une idiosyncrasie très marquée, mais ouverte à tous les goûts. C’est le miracle de Nîmes. « C’est l’exemple de votre prestation, de votre travail, de votre dévouement et de votre persévérance depuis plus de 40 ans »détient Simon Casas. ‘En 1980, j’ai organisé mon premier salon et j’ai parié, dès le départ, pour un changement radical dans le concept de programmation, dans le but d’organiser de grands événements avec la présence toujours de grandes figures dans des affiches exceptionnelles. Par exemple, les six taureaux solitaires de José Tomás ou même de nombreuses alternatives, telles que celles de le juillet soit Roi Rock’.

‘Depuis mes débuts, j’ai toujours respecté l’originalité, la créativité et la qualité. Cela a été vu dans l’image de la place. Quand je l’ai ramassée, il n’y avait que Foire de Pentecôte. j’ai créé le fête de la Ancien, financé par moi, en lui donnant la même importance que dans le cycle du mois de juin. C’est le résultat d’un travail de tant d’années et de la confiance que cinq gouvernements municipaux différents m’ont accordé en tant qu’homme d’affaires, avec des idéologies totalement différentes.assure-t-il fièrement.

« L’important est de donner à chaque célébration l’impulsion d’un événement. Toujours à la recherche de créativité et d’originalité. Pour moi, il y a l’art de la tauromachie, pas la tauromachie ou le torerismo. Il y a plusieurs facettes, mais toutes dans un ensemble commun qui est l’art taurin. C’est la même chose que la peinture, la littérature, la musique. Ce ne sont pas les mêmes, mais il y a une frontière. Eh bien, ici, tout doit exister sous le paramètre de la qualité’il est dit Maisons.

Travailler dans Nîmes ça a payé. Une ville qui vit avec passion Tauromachie et qui est totalement immergé dans la fête et dans la vie sociale du lieu. Rien n’est par hasard. ‘Nîmes est la place la plus importante de France et a pour mission d’être le drapeau de la Tauromachie. Tout le monde y participe : clubs taurins, presse, politiciens… Nous partageons tous la même condition et la même certitude que la tauromachie est un Faire la fête qu’il faut la protéger et une économie qui impacte toute la ville. Cela se travaille avec beaucoup de coordination avec tous les tissus de la ville’conclut-il.