OuiCela fait 12 ans que la dernière corrida a eu lieu au Monument de Barcelone et en tout Catalogne. Année après année, l’anniversaire, même si nous essayons de le cacher sous le tapis, est le portrait de nos incapacités. Et d’autres choses. Il symbolise l’histoire victorieuse de l’illégalité et de l’inconstitutionnalité de tout un pays appelé Espagne. Une photo fixe et panoramique qui montre chaque Espagnol, homme politique de quelque parti que ce soit, comme participant à une détérioration structurelle de la validité de la loi et du Constitution. Le 28 juillet 2010, le Parlement catalan violé le Constitution interdire les corridas dans le seul lieu qui célébrait encore ces célébrations dans leur communauté. Le Monumental de la Capitale. En 2016, le Cour constitutionnelle a déclaré l’inconstitutionnalité d’une telle décision. Et pourtant, ce droit n’a pas été rétabli, 12 ans plus tard.

À cette époque et bien avant, lorsque le Parlement de Catalogne modifié le Loi sur le bien-être animal en 1990. Une réforme, non pas de contenu animalier, mais une insertion subtile consistant à interdire les taureaux dans toutes les arènes portables (la fin des corridas incontrôlées dans les villes) et à les autoriser uniquement dans les arènes construites par construction jusqu’à cette date. Tous étaient de propriété publique. Il suffisait de ne pas les mettre en compétition pour que les taureaux disparaissent en un éclair. Monde de taureaux Il a élevé la voix pendant des années, déduisant, outre l’illégalité de l’affaire, qu’il s’agissait d’assiéger la seule place privée, Le Monumental, que cette loi modifiée ne couvrait pas. La de Barcelone. Monde de taureaux averti année après année de ce qui allait arriver.

Il y a eu des années de prédication dans le désert, avec la société espagnole et taurine à l’intérieur, sans que personne ne se rende compte qu’ils symbolisaient tout ce que ce pays a souffert jusqu’à aujourd’hui. Que Constitution et la Loi ils ne prévalent pas dans tous État. Cela peut être supprimé et modifié sans que rien ne se passe. La classe intellectuelle, artistique et politique et les toreros, bien sûr, n’ont pas lu qu’une sédition structurée était en train de commencer, qui consiste dans le non-respect des Constitution. Des années plus tard, le Gouvernement de ce pays dépend de la volonté d’un fugitif de la justice qui a violé les Constitution, initier un discrédit international sur la qualité de la démocratie en Espagne.

Il n’a jamais été question de taureaux mais de tout le monde. Il s’agissait du concept d’État, de sa Constitution et des règles de l’État lui-même. Il n’a jamais été aussi vrai que pour connaître l’histoire de l’Espagne, il suffit de connaître l’histoire de la tauromachie.

Il n’a jamais été question de taureaux mais de tout le monde. Il s’agissait d’une question sur le concept de État et son Constitution et ses propres règles État. Cela n’a jamais été aussi vrai que Pour connaître l’histoire de l’Espagne, il suffit de connaître l’histoire de la tauromachie. (José Ortega et Gasset). La tauromachie et son interdiction ont été le cobaye ou le terrain d’essai d’un nationalisme indépendantiste et criminel sans que personne ne se rende compte de l’aberration recherchée. Aujourd’hui, avec le rétablissement du droit à la corrida, ce pays et ses lois et autorités permettent que ce droit ne soit pas exercé en raison de l’intervention administrative des criminels. Nous disons criminels parce que commettre un crime, c’est violer la loi.

Nous pensons, comme nous le croyions il y a tant d’années, que le retour des taureaux en Barcelone Ce serait le symbole et le symptôme du retour du Loi à ce pays. Que le fait qu’une activité soutenue par le Constitution Ce serait le symbole du chemin parcouru, du « ça suffit ». Parce qu’un pays, ses habitants et ses institutions qui autorisent le non-respect répété de la loi et le non-respect répété des lois Constitution, même si c’est toujours le même article et dans le même domaine, c’est un pays qui nous invite à enfreindre toutes les lois, toutes les lois. Constitution. Parce que le Grande Charte C’est un tout et pas seulement un morceau, ou pas seulement pour toutes les activités sauf la nôtre. C’est dans son intégralité. Et la tauromachie aurait intérêt à se rassembler et à asseoir un droit qu’elle n’exerce plus depuis 12 ans. Et ce pays ferait bien de rouvrir ce débat s’il veut encore parler d’État de droit, de droit et Constitution. Ça ou les fugitifs vivent.