Quatrième: ‘Repipi’, nº 168, bragado brun moyen, né le 19/03, pesant 505 kilos, combattu par José María Manzanares

Troisième: ‘Insensato’, nº 148, bragado noir, né le 19/02, pesant 525 kilos, combattu par Tomás Rufo

Belle carrure, tempes étroites, visage fermé. le reçoit Thomas Roufo Verónica et charge avec bon air. Il essaie de le galear pour des chicuelinas, mais la deuxième fois, le taureau reste au sol. Deux brefs coups de poing arrière, le taureau se laissant frapper au visage à hauteur moyenne. Sans inertie, le taureau charge bien, avec le piton à l’intérieur. Fournit au public Thomas Roufo.

Béquille : Le Toledo commence la tâche avec les deux genoux au sol pour lier les béquilles de la main droite, très enfoncées. Monte l’ambiance l’après-midi. Taureau très courageux, chargeant avec une grande demande, avec le python à l’intérieur. et bonne série Thomas Roufo, baissant beaucoup la main, serrant le taureau dès le premier instant sur la ligne courbe. Deux grandes séries avec la main droite. Les indigènes ont également une main très basse dans une première série dans laquelle ils rejoignent le taureau alors que les béquilles continuent. Le suivant est de plus grand rassemblement, accrochant les béquilles loin en avant. Il hausse à nouveau le ton de la main droite dans une série étroitement liée, laissant la béquille sur son visage, baissant la main. Fente au premier essai. Mort de bravo le taureau, dans les médias. Deux oreilles.

Deuxième bis: ‘Vid’, nº 161, bragado noir, né le 19/02, pesant 520 kilos, combattu par Pablo Aguado

Avec des formes très typiques de la maison, avec la naissance des pitons vers l’arrière et, plus tard, vers l’avant. Avec petit cou. Décollé du sol. Beau travail et viande en vrac. le reçoit Pablo Aguado à la verónica avec un taureau qui attaque pour le moment sans se servir, à mi-hauteur, jetant ses mains devant. Lors de la relance du premier coup de poing, pousser à mi-hauteur avec le python gauche. Avec une plus grande rectitude et une meilleure lutte sous la bavette, la seconde. Il s’humilie de moins en moins, sans s’user. Retirer Thomas Roufo par chicuelinas, terminé par une revolera. Aguado répond par le même bâton, avec quelques chicuelinas gracieuses, se retrouvant à la porte de l’enclos avec un taureau de moins en moins utilisé. Le taureau est très attaché au terrain des tables, il lui est très difficile d’en sortir, ce qui rend le combat difficile. Appuyez ensuite sur le taureau dans les rencontres, vers l’intérieur.

Béquille : Le taureau est venu à moins, avec une charge très freinée, sur les mains. Le sévillan le tire d’un coup sec en essayant de le faire sortir de la terre de sa possession. De race très blonde, vous ne pouvez pas attacher deux béquilles à la suite. Essaie Pablo Aguado de bonne disposition, avec la béquille légèrement en arrière, toujours très naturelle. L’assaut est très terne et les forces Aqueux aller chercher l’épée Laisser mi-poussée avec habileté et efficacité.

Deuxième: ‘Sentencioso’, nº 29, noir, né le 18/08, pesant 504 kilos, combattu par Pablo Aguado

Le second est bien fait, avec des mains courtes et un long cou. le reçoit Pablo Aguado par des véroniques avec un genou au sol, avec une grande majesté, pour continuer plus tard avec la véronique debout, avec sa silhouette très droite. Mieux ceux du python droit. Ça coûte au taureau comme ça sort Aqueux combattre le troisième Il est pris en charge au premier coup de poing. Le taureau sort trop négligent, très délabré. Ça démange à peine. Le président lui demande de passer le taureau, il perd ses mains une fois et le jette dans le corral. Plus à cause du peu d’options qui ont été vues qu’à cause d’un réel manque de force.

Premier: ‘Serpentín’, nº 6, ruban mulâtre noir, né le 18/09, pesant 509 kilos, combattu par José María Manzanares

Précieuse de charmes, basse, fine de charmes, constellée de pythons. Il charge avec le python de l’intérieur et très humilié au manteau de José Maria Manzanares. Mieux vaut les ensembles à la verónica par le python droit. Poussez face vers le bas sous le bavoir. Moins est utilisé ‘Jandilla’ dans le retirer à la véronique de Pablo Aguado. Bon tiers de banderilles de Diego Vincent, qui est obligé de saluer une ovation. Le taureau maintient sa vitesse, sa fixité et son galop dans sa charge.

Béquille : commencer José Maria Manzanares dans une série à main droite sur un terrain parallèle aux tables, avec un taureau avec une grande charge, prompt, galopant, toujours avec le python à l’intérieur. Il descend plus bas dans sa main dans la suivante. Naturellement, le taureau a une attaque plus décomposée, ce qui lui coûte plus cher pour finir les béquilles par le bas. retourner le de Alicante à droite avec une série exigeante, en prenant le cor long et en finissant les béquilles plus dans la ligne courbe à mesure que les béquilles sont enchaînées. Taureau important pour ce python. Plus emphatique le suivant, en restant sur le site. Bonne fente de placement. Le taureau est relevé plusieurs fois. L’avertissement retentit. Le taureau est acclamé dans la drague.

Feuille de célébration :

Hierro de Jandilla - Espagnearène de La Maestranza Royale de Cavalerie de Séville. 9 de la Foire d’Avril. Plus des trois quarts de l’occupation. taureaux de jandilla,

JOSE MARIA MANZANARES, applaudissements après avertissement

PAUL ARROSÉ, silence.

TOMAS RUFO, deux oreilles.

Incidents : Le banderillero Diego-Vincent il a mis pied à terre après avoir apparié le premier.