L’après-midi a été riche en motivations qui se sont traduites par une ambiance débordante. Plein de « Il n’y a pas de billets » pour voir les adieux de Le juillet dans Albacete et la dernière confrontation avec Roi Rocher. Le torero qui a régné ces dernières décennies et celui qui détient le sceptre de la tauromachie. Une tâche au sommet de Le juillet à un taureau de retour dans le ring Jandilla et un autre de race et de main basses Roi Rocher. Le Péruvien a un après-midi complet, avec quatre oreilles, mais sans la signature d’acier. Cette même chose a empêché Urène sortir ensemble sur les épaules de ses compagnons lors d’un après-midi dédié au cours duquel il a mis en valeur un reçu pour Veronica.
Justo était le troisième louche de la présentation, mais il a touché le fond et est allé plus loin dans la béquille de Roi Rocher. Le droitier péruvien a commencé de manière dynamique avec des changements de derrière aux genoux dans le troisième et a continué avec plusieurs séries allongeant l’attaque. Il baissa naturellement sa main avec profondeur, recevant un fort saut périlleux. Il a encore haussé le ton après la mésaventure avec une corrida interrompue à main basse. Un véritable gâchis basé sur une tauromachie profonde qui a fait sortir le public des tribunes à la fin des épreuves. Ainsi qu’en finale dans les environs et dans les bernadinas en changeant le voyage. Il partit d’un coup et exhiba deux oreilles aux cris de « Torero, torero ! »
Le sixième est revenu au fer Jandilla et bien qu’il ait moins de vertus que l’ouvreur, il avait la noblesse de se permettre Roi Rocher figer une tâche avec un long coup et une main basse. Le taureau ayant du mal à répéter sa charge, le Péruvien attaquait en gagnant toujours un pas. Il était sur le point de triompher à nouveau, mais il a échoué avec l’acier. Silence.
Un taureau a ouvert les arènes Jandilla viande lâche, avec peu de crosse, qui commençait à attaquer par le bas sur la muleta de Julián López ‘El Juli’. Le droitier madrilène s’est encore une fois déchaîné dans des tribunes bondées qui vibraient avec l’un de ses toreros préférés. Il y avait de la puissance et beaucoup de soumission, notamment de la part du python droitier avec des coups de béquilles très profonds et longs. Il a terminé sa tâche avec des Luquesinas, avant de sortir une poussée arrière. Deux oreilles, tandis que le taureau était récompensé par son retour sur le ring.
Le quatrième était un taureau rempli de Daniel Ruiz mais juste à cause de la force qui bougeait sur les mains. Le Madrilène s’est installé dans le taureau, essayant toujours, avec une parfaite maîtrise des touches et des hauteurs, d’allonger l’attaque. Il fit un geste de l’oreille.
Le second est plus profilé et plus sérieux, avec une plus grande tournure de python. Une corne noble, avec une certaine embroque, qui chargeait mieux par inertie en raison de sa juste force. Il a perdu des pas dans la première série Urène, laissant les coups les plus longs en ligne droite. A courte distance et en appliquant les tirs derrière la hanche, l’attaque était plus décomposée. Un coup qui renversa le taureau sans pointe lui porta une oreille aux mains.
Paco Uréna Il a rattrapé Veronica au cinquième, un taureau à face ouverte et à la viande lâche. Une quittance remise à celui qui a continué une tâche de béquille dans laquelle les meilleurs coups venaient sur la main droite. Le taureau accusa la courte distance et commença à décliner. Malgré cela, il y eut des rondes très douces et des corridas importantes. L’échec de l’acier a fermé la Grande Porte.