Le bétail de Valdellan était le protagoniste du troisième des Foire d’Automne de Madrid. Un confinement Gracilien dont son éleveur fait le bilan suivant : ‘Ce n’était pas la meilleure corrida que nous ayons eue, mais on peut voir de bonnes choses après la gestion de ces derniers jours. Ils ont tous livré à cheval, certains meilleurs et d’autres moins bons, mais, en général, ils ont tous livré à cheval. Il y avait un bouvillon que j’aimais beaucoup c’était le troisième, auquel Jorge Martínez il a combattu naturellement comme on peut le voir en de rares occasions. C’était super’assure Fernando Álvarezpour ensuite nuancer ses propos.
« Je ne parle pas de la gestion dans les enclos, qui est toujours extraordinaire, mais des circonstances qu’il a fallu sauver à la suite des examens vétérinaires. Il fallait amener et porter des bouvillons, embarquer vite, amener huit utreros de plus… C’est ce qui peut vous arriver dans n’importe quelle reconnaissance‘, il assure.
‘Sur un premier accusé de réception -tient Ferdinand– trois ont été approuvés puis rejetés lorsque les huit suivants sont arrivés. En fait, il y avait de bons bouvillons, mais nous avons également été surpris par la décision par rapport aux autres. L’un d’eux manquait de 10 kilos, d’autres avaient un peu de gueule… Il n’y a plus besoin d’y penser, car sur cette place il y a une équipe de délégués du gouvernement qui a compris que les choses devaient se passer ainsi et, au final, c’est quelque chose qui peut arriver. De plus, même les jours où les bouvillons étaient en le foulage ils ont perdu du poids. Je fais référence à cette manipulation, qui est quelque chose que les bouvillons remarquent généralement, qui a également eu peu de préparation car ils étaient prévus pour être combattus comme des taureaux. C’est sorti comme ça et c’est comme ça qu’ils ont traité. Tu n’as pas à chercher d’excuses’soutient-il.
Un autre des utreros qu’il aimait Fernando Álvarez c’était le deuxième. « C’était un utrero encastré, qui s’étendait sur la place et avait une morphologie et un pelage très caractéristiques de la maison. J’ai bien aimé celui-là aussi, ainsi que le troisième. Avec ça je reste’, conclut.