Un taureau d’une qualité exceptionnelle, un fond formidable, une humiliation maximale et une corrida caressante dans l’attelage et dans la ligne élevée en Palencia un monument à tauromachie réalisé sans inertie. un hommage à Mexique et tauromachie profonde avec un taureau debout. Ferrera Il l’appela gentiment là, le taureau arriva en rampant et s’humiliant devant l’embroque, le torero l’attendait avec ses vols somnolents et lorsqu’il mit son visage dedans, il le prit au ralenti, réduisant encore la marche lente du taureau. Super boulot, dans chaque muletazo il y avait de la place pour deux olés et un taureau exceptionnel. Un torero qui a le Mexicain dans son pouls et un taureau qui a dit qu’une telle corrida commence quand l’inertie prend fin. Capacité d’abattage Luc et l’exposition de Uréna avec le pire lot avec une série gérable de Adolf Martin, qui manquait plus de puissance pour transmettre plus.

Le quatrième, un autre taureau de belle facture, était un taureau extraordinaire qui sortait très bien défini : avec classe, chargeant toujours avec le python dedans, avec beaucoup d’humiliation, rampant même dans la charge… Avec lui, Antoine Ferrera l’une des tâches de sa carrière s’est concrétisée, puisque du cap il a trouvé le lieu et le temps pour ‘adolfo’. L’homme d’Estrémadure a géré les attaques dans la première partie, cherchant plus de ligne droite dans une tâche qui allait toujours plus loin. Tauromachie Ferrera très trempé, prenant toujours la charge jusqu’au bout très absorbé, tirant les vols, réduisant une charge déjà excitante due à son humiliation dans ce crawl derrière la béquille. Il savait donner au taureau ce qu’il demandait à tout moment. Il a laissé une fente saisie de loin sur une marche dont le placement était défectueux. Le public a demandé les deux oreilles avec force et seul le placement de l’épée l’a empêché de faire la demande plus forte pour le maximum de trophées.

Un taureau a ouvert la place Adolfo Martin bien présenté et de bonne facture, qui avait de la qualité dans ses attaques, même s’il était limité dans sa force et sa caste, il lui était donc très difficile d’aller de l’avant. Il était très concentré Antoine Ferrera avec lui, car il a réussi à tenir l’attaque dans la première partie de l’épreuve jusqu’à structurer progressivement une tâche dans la courte distance. Sans trop le lier, attendant toujours avec la béquille en retard et sans presque aucune touche, il a su enchaîner de bonnes séries à deux mains. Il a mis en évidence la tauromachie naturelle. Il a laissé une fente et a effleuré une oreille.

Le troisième vint charger le visage contre terre, quoique sur les mains, sur le cap de Daniel Luc. C’était un autre klaxon mesuré dans sa puissance et avec une voie assez rare dans l’attaque, sans inertie et sur les mains. j’ai parfaitement compris Daniel Luc que peu à peu il a pu délivrer et allonger l’attaque basée sur beaucoup d’attente au moment de l’embroque avec la béquille retardée pour lancer l’attaque. Le tout à courte distance. La ponction avant la fente a réduit la tâche à une oreille.

Plus grossier de travail était le sixième, qui n’a jamais voulu avancer. De plus, la puissance était rare, tout comme la force, perdant ses mains à plusieurs reprises. vient de donner le choix Daniel Luc qu’il a essayé pour les deux pythons avec un taureau qui ne disait jamais rien et qui était sous les vols. À court d’options, il a laissé une meteysaca.

Le second était un taureau précieux de fabrication, bas, qui montrait sa qualité déjà dans la réception de la couche de Paco Urena. Le taureau, qui s’est glissé en début d’épreuve par le piton droit, a eu les attaques les plus franches à gauche, avec une plus grande continuité que celles du premier, mais perdant son zèle et ressortant face visible dans les criées de les muletazos au fur et à mesure que le travail progressait. Il a minimisé l’importance et l’éclat d’un long métrage en Paco Urena, dans lequel il laissait des muletazos lâches et de grande forme mais qu’il passait dans une recherche constante pour que la tâche terminât de décoller. La fente basse a brouillé une tâche qui aurait été récompensée par une oreille.

Le cinquième était un autre de bonne facture, bien que plus large dans les temples qui était gérable, bien que sans beaucoup d’engagement. avait le statut de Adolfo Martin mieux embroque que vente aux enchères dans les muletazos. Paco Urena le point culminant du milieu de la tâche s’est réuni vers l’avant, lorsqu’il a pris de la distance et a pulsé l’assaut du taureau par le python gauche, donnant un temps entre béquille et béquille, s’accrochant avec les vols. Il a terminé sa performance avec une fente basse après une crevaison.

Feuille de célébration :

arène de Palencia. Première de la Foire de San Antolín. Un peu moins d’une demi-entrée. taureaux de Adolfo Martin, bien présenté, de bonne facture, bas. Jeu gérable, bien que manquant de puissance en général. La grande salle s’est démarquée, d’une qualité exceptionnelle, d’un fond formidable et d’une humiliation maximale.

ANTONIO FERRERAoreille et deux oreilles.

PACO UREÑAsilence et applaudissements.

DANIEL LUQUEoreille et silence.

Incidents : le banderillero Raúl Caricol accueilli une ovation après avoir apparié le troisième. Souligné José Chacon dans le combat jusqu’au quatrième.