ETC’est l’un des noms du moment et de cette fin de saison. Une des surprises de l’année. L’après-midi du 12 octobre à Madrid marque un avant et un après dans la carrière de François de Manuel. Encore gueule de bois d’émotions, il parle à bullworld en train d’essayer ‘assimiler ce qui s’est passé cet après-midi’, assure avec le sourire. Il est heureux. Et vous ne pouvez pas le nier. obtenir le Grande porte de Madrid C’est un rêve devenu réalité. Mais loin de là, c’est le seul que le droitier madrilène a en tête.
« L’après-midi du 12 octobre a été un avant et un après dans ma carrière »assure François de Manuel. « C’était un très bel après-midi, j’ai essayé d’en profiter au maximum malgré l’énorme responsabilité et la pression qu’il faut pour se battre un jour comme celui-ci, entre deux figures de proue de la tauromachie »soutient-il.
Est-il possible de se faire plaisir un après-midi quand on sait que tout est en jeu ? « Pour cela, la mentalisation et la préparation sont très importantes. Cet effort vous rend plus sûr de vous le jour où vous vous battez. J’étais conscient que c’était un après-midi très important pour moi, mais c’est un rendez-vous dont j’avais toujours rêvé, d’être sur ce type d’affiche. Comment ne pas en profiter ! J’ai essayé d’être détendu. Même les jours précédents n’étaient pas nerveux. J’étais entouré de mon peuple, de mes amis, faisant des plans pour déconnecter mon esprit ».
« La seule chose que j’espère, c’est pouvoir participer aux salons, dans la catégorie affiches »
François de Manuel il abattit son poing sur la table à l’intérieur des jeunes hommes habiles. trois oreilles Plein de ‘Pas de billets’. Grande porte près de rocher roile torero du moment. ‘Pour voir réussir rocher roi Avant que votre premier taureau ne sorte, cela peut vous faire tomber ou cela peut servir à vous motiver, à essayer de provoquer ces mêmes sensations dans le public, à pouvoir le faire devant le taureau. Il n’avait rien à perdre, il avait saisi cette opportunité, il était de chair et de sang comme eux et il savait qu’il pouvait donner une bonne dimension. J’ai eu de la chance avec les deux taureaux de mon lot et contre le sixième, naturel, j’ai pu approcher le tauromachie quel rêve’il assure.
Sur son visage, il montre encore une illusion dans son regard vif. Le rêve réalisé. Ongle Grande porte comme torero dans Madrid. « Ce sont des sensations uniques, car à partir du moment où tu commences à vouloir être torero, c’est ton rêve. C’était quelque chose d’incroyable, de très difficile à expliquer. Il y a beaucoup de gens qui t’admirent, qui veulent te toucher, qui veulent prendre un bout de ta robe… Toutes ces sensations intenses en si peu de temps c’est quelque chose d’ineffable. Je ne me change pour personne, ni maintenant ni à ce moment-là.
Malgré tout, François de Manuel garder les pieds sur terre. Il sait que ce triomphe n’est que le premier maillon d’une longue chaîne. « Je suis toujours la même personne, je continue avec les mêmes personnes »il plaisante « La seule chose que j’espère, c’est pouvoir participer aux salons, dans la catégorie affiches et que la saison prochaine soit l’une des années les plus importantes de ma carrière »conclut-il.