Avec une heure de retard, la première corrida commença dans la Foire de Tovar 2022sur la place couverte Colisée El Llano. Avant le paseo, les quatre toreros de l’affiche inaugurale portaient sur leurs épaules l’image de Notre-Dame de Regla, patronne de la ville. Après avoir entendu les hymnes de Venezuela Oui Tovarla fête a commencé, où huit taureaux de Les Ramirez, bien présenté, au-dessus du poids réglementaire, courageux pour ceux à cheval et un peu compliqué sauf pour les quatrième, cinquième, septième et huitième. Ils avaient de la mobilité. Demi-carré.
Le premier taureau à Curro Ramírez, il est parti distrait, sans force, compliqué, le tovareño n’a rien pu faire, il a tué le taureau après deux avertissements et jonchage. Le cinquième Curro Ramírez l’a offert au public, des doublons, trois paires de bonnes mains droites, avec l’épée qu’il a percée trois fois, le troisième avertissement a retenti et le taureau est tombé à terre.
Le deuxième, David Galvan, a reçu le taureau avec quatre sets, avec le droit il donne plusieurs muletazos, celui du Ramírez, il est sorti très rapidement, sans force, doux, dans la première tentative qu’il a crevé. Après avoir averti le taureau tombe. El sexto David Galván, con molinetes, el torero le bajó la mano, pisándole el terreno al toro, para poder darle dos tandas de derechazos rematando con molinetes, oye música con entrega a un toro complicado, toma la muleta con la izquierda, da dos tandas sin la ayuda, rematando con afarolados, un desdén y un martinete, toma la espada, con calma busca sitio, espadazo en todo lo alto cae el toro, salen los pañuelos blancos y la presidencia otorgó la primera oreja de la tarde y de la fête.
Le troisième de l’après-midi pour le débutant au Venezuela, romain Il est sorti consentant mais le taureau a suivi le chemin des frères, plusieurs doublons, mains droites, à coups intermittents, sans aucun lien, il prend l’épée, pique, il reçoit un avertissement et le taureau tombe. Septième dans l’après-midi, Roman, avec un grand dévouement, a ouvert la tâche avec des coups de genou à droite, deux naturels et des tourniquets, il entend de la musique, un avertissement et le taureau meurt.
La chambre de Los Ramírez, Jésus Henri Colombo au-dessus du taureau, avec cinq pieds verónicas ensemble, égaye la soirée, le torero avec habileté place trois magnifiques paires de banderilles, porte un toast au souverain, trois paires de mains droites, finissant par derrière, moulinet, la musique se fait entendre pour la première fois dans l’après-midi, il finit par donner des passes rondes, prit l’épée, saisit le taureau et au bout de trois moelles le taureau tomba. huitième taureau, Jésus Henri Colombo. Tout par Navarre, trois paires de banderilles, offre le dernier taureau au souverain, ouvre la tâche à la statuaire, des mains droites de qualité et la musique sonne, deux naturels avec beaucoup de dévouement, de fente et d’oreille.