QUATRIÈME TAUREAU
Une fine ecchymose au corps et au museau, très dans le type, qui a beaucoup humilié au départ, était la quatrième pour David Galvan. Il a passé beaucoup de temps sous la cuirasse au premier poteau, quoique plus sur le côté qu’en poussant. Je le laisse galvaniser dans la longue distance dans le deuxième match et a été franc sans obtenir les cordes. Il a cassé le taureau par le bas dans le premier lot de Galván, dans les médias. Pour pouvoir le pousser, il a demandé une place en seconde. Ne pas rester en haut pour pouvoir mieux enchaîner les cols. Il tira sans inertie dans une poussée très humiliée. Pour le python gauche il y a eu moins de couplage et un désarmement. Galván est revenu au python droit mais la tâche avait déjà maigri, il l’a remis du pied gauche pour flirter deux par deux avec le public qui en attendait plus. Un bon taureau avec une charge exigeante. Fente descendante efficace. Le silence.
TROISIÈME TAUREAU
il s’est agrippé gracieux dans des ensembles de grande expression dans le troisième, un taureau bas et bien fait qui s’est bien comporté dans les tiges. Il a fait un saut périlleux à la fin qui aurait pu le blesser. Après un grand tiers de banderilles, Garrido a donné au public le travail de fléchir sa jambe et de longs deux muletazos au ralenti. Trois de la catégorie ont poursuivi de la main droite, le taureau répondant bien mais menaçant de perdre l’objet à la fin de chaque passe. Le torero a suivi et a laissé un changement de main de luxe. Un immense lot naturel de sommets d’ancrage, d’ajustage, de serrage et de traçage. Un autre pour ce python et un avec une longue poitrine avec le public dévoué et un autre rond avec la main droite d’une grande rencontre. Gros massacre intense et profond pour un taureau exceptionnel clôturé par une corrida à deux mains avant une fente arrière presque complète. Il a perdu la deuxième oreille qui aurait marché avec une poussée de meilleur placement.
DEUXIÈME TAUREAU
Les deuxièmes tables barbelées, les mains hautes et le visage ouvert avec un profil bas marquant l’affection. Il se laissait battre à coups de bâton et s’animait de banderilles passant sans humilier à travers les capes. Nous souhaitons que le taureau jean leal en battant sans laissez-passer au premier tour en protestant. C’était un taureau de très courte distance qui n’a pas poussé en avant, passant dans un court voyage sur ses mains et avec son visage vers le haut. Cela a énervé le public et le torero que la musique ait l’air dénuée de sens et Leal s’est efforcé d’obtenir des laissez-passer de sa part, étant impossible. Taureau très compliqué et terne, tenant au sol. Fente arrière. Le silence.
PREMIER TAUREAU
Ouvert avec des cornes et un peu haut dans les mains du taureau avec lequel il a fait ses débuts Les mains dans Saragosse. Avec un assaut doux et peu de puissance qui a passé le processus de tiges après un combat avec trop de capotazos. Dans les banderilles le taureau galope déjà épuisé et relève le visage mais conserve sa noblesse. Je porte un toast au public David Galvan qui a commencé la tâche très torero et avec une boussole pour l’emmener au centre de l’arène. Un grand changement de main montre le grand python gauche du taureau. Les muletazos sortent lâches, manquant d’un lien qui arrive dans un grand quatrième lot au naturel. Grande qualité du taureau manquant un peu de zèle à chaque fin de passe et plus de vie. Et tauromachie remarquable galvaniser qui a tué avec une faible poussée. Demande majoritaire. Retour sur le ring.