La Confrérie du Baratillo de Séville symbolise comme aucun autre la communauté entre Semaine Sainte et tauromachie. Cette année Miguel Baez Espinola ‘Litri’s’ouvre dans la confrérie, par la main de l’avocat et ami Jmoeckel oaquinqui s’est déjà lancé dans quelques toreros « l’insecte » pour traiter le mercredi saint à travers les rues de Séville. depuis en 1774 le droitier José Delgado Hillo, Pepe-Hillofera don à la confrérie d’un Saint Jose (saint détenteur de la Confrérie), beaucoup toreros Ils ont revêtu la même tunique et les mêmes habits que le maître historique.

Morante de la Puebla, Manuel Jesús El Cid, Oliva Soto, Silveti, Manuel Díaz, Rafael Peralta, El Litri désormais, entre autres, sont la longue et importante échelle d’un seul Confrérie de Séville qui porte l’albero de La Maestranza jusqu’à ce que le Cathédrale. Figure aussi littéraire que vraie, puisque le lien entre le Maestranza royale de cavalerie de Séville avec la Confrérie Baratillo né précisément d’un Lettre de la Fraternité entre les deux entités historiques. La fraternité Elle s’organise dans les arènes, à l’intérieur et à l’extérieur, avant le départ du cortège.

Il faut se rappeler que jusqu’à la Maîtrise incorporé une chapelle à l’intérieur, le toreros qui alternaient dans cette arène, passés avant par les Chapelle Baratillo pour terminer leurs prières avant les paseillos. José Antonio Morante de la Pueblasi habitué à regarder dans le coffre de l’histoire, marchait vêtu de torero avec sa bande depuis Côlon à la chapelle de Prisunic prier, comme avant, puis continuer à pied jusqu’à la place. C’était lors de la saison 2017. Il va sans dire que ce fraternité et La Maestranza ils ont un lien presque dans leur ADN. Dire « Arène de Baratillo » c’est-à-dire Arènes de la Real Maestranza de Séville.