ANDRÉ VIARD
Chambre: Le quatrième est sorti avant le départ, qui a mené un combat courageux à cheval, romancé d’émotion. De grand ton était le début de Sébastien Castella par le piton droit, avec des béquilles bien serrées. Cependant, lors de la prise de la main gauche, les poussées et la rétroaction étaient différentes, abaissant la touche du fretting. L’ambiance s’est dégradée, ce qui n’a pas non plus été aidé par l’absence de musique. Fente à effet rapide. Palmiers.
Troisième: Le troisième a été rendu et à sa place est venu celui qui devait être traité comme le sixième. Le cor de Salamanque a péché par manque de force, mais il avait de la classe dans son assaut. bonne prestation par Canton dorien, qui est réapparu après une mésaventure sur le terrain. Le Français a tracé de longues et chaudes béquilles. Une tâche précieuse, dans laquelle il a été laide renversé, bien qu’apparemment sans conséquences, dans la dernière ligne droite. Il a laissé une fente, qui a renversé le taureau sans lacet et a marché une oreille de poids.
Deuxième: Un taureau profond, présure et bien cuit fut le second, qui eut ses complications dans l’attaque. Basé sur beaucoup de tempérament et de douceur, Daniel Luqué Il lui apprenait à briser son assaut. Le taureau a été livré, bien que sans beaucoup de rythme, mais le sévillan a caillé une tâche importante, avec le public debout à plusieurs reprises. Il a terminé sa performance avec des luquecinas, très serrés. Fente détachée et deux oreilles.
Premier: Un taureau de Le pilier grossier de sorts, qui lui ont coûté d’attaquer, frappant toujours les ganafones dans son attaque. il en a profité Sébastien Castella par les deux pythons, mais sans atteindre l’éclat désiré. Fente entière. Applaudissements.