Pour André Viard (Dax)
Deuxième: Le second, un colorado de grande tenue aussi, n’avait pas l’éclat du premier au cap de Xavier Cortés, mais il a poussé courageusement et avec force en deux coups de l’Israël de Pierre, qui a été applaudi Javier Cortés construit intelligemment son œuvre en trois temps. A mi-hauteur d’abord, pour laisser au taureau chargé de qualité le temps de se remettre de ses efforts ; puis plonger dans des séries ajustées par les deux pitons, tremper, compas ouvert et insérer les reins; et raccourcir les distances à la fin, pour accélérer les dernières attaques. L’épée entière, mais quelque peu tendue, forcée de paniquer, sans que le taureau impliqué dans une table ne coopère beaucoup, deux avertissements ont retenti et le trophée bien mérité a disparu. Ovation en drag. Silence.
Premier: Le premier, un marron foncé de grande étoffe, semblait avoir blessé un python en finissant, mais il chargea d’un très bon son dans la capote de Rafaelillo. Il lui a fallu beaucoup de temps pour aller à la première barre et il a chargé fort tout en Juan José Esquiviel il se retourna, provoquant une situation d’urgence dont le brave picador sortit heureusement indemne. Ensuite, il a pris deux barres en poussant fort et a continué à charger avec un bon son dans le deuxième tiers. Rafaelillo offert à l’équipe médicale de la place et s’est doublé de la grande qualité du Pedraza dès le début de la tâche, enchaînant des séries vibrantes à deux mains qui pénétraient les lignes. Il a interrompu son travail au moment opportun, c’est-à-dire avant que les attaques ne perdent leur force initiale, et il en a tué un entier quelque peu croisé. Le retard avec le bourreau a gâté l’oreille de poids qu’il aurait coupée. L’avertissement a retenti lorsque le taureau s’est couché. grand taureau de Pedraza dans tous les tiers et grand Rafaelillo. Ovation dans la drague à un rythme lent et salut au tercio pour le torero.