A eu le récent terminé Foire d’Avril des moments qui dureront longtemps dans la tête des fans. Plusieurs d’entre eux portent la signature de Juan Ortega. Le torero sculpté avec la corrida Dimanche Hernandez cap tauromachie Le tout à très faible vitesse. Quelques verónicas chacune plus tempérée, réduisant l’assaut du départ, se battant avec tout le corps, avec les talons réglés. Une cape inoubliable qui a fait résonner la musique. Un reçu pour les élus. Comme les déménagements ultérieurs par des tabliers et encore à la véronique. Ce jour, Juan Ortega, près de Habitant de Puebla, a caillé quelques-unes des soirées les plus rondes de la tauromachie du cap dont on se souvient à travers l’histoire. Encadrer.
Une catégorie qui pourrait aussi s’apprécier avec la béquille, ce que ses quatre taureaux pouvaient lui permettre. Toujours à la recherche de la ligne courbe, de la béquille pure et sincère, terminée derrière la hanche. Réduire la poussée de moitié vers l’avant, en la collectant vers son propre axe. Une tauromachie qui touche tous les publics, comme ce beau départ bas qui a immortalisé un taureau de Rivière victorienne avec un genou au sol. Une foire qui, sans prix, a marqué le moment de Juan Ortega. Et lui, plusieurs moments de la série.