Le bétail de Orge Gago a été le protagoniste de la deuxième course de taureaux San Fermín. La devise de Cadix, avec une grande légende dans les rues, complétait le parcours dans un enclos de taureaux marqué par un troupeau ouvert et, aussi, par la noblesse des taureaux, déjà dès la première section du Côte de Saint-Domingue avec cinq licous ouvrant un groupe, dans lequel les taureaux faisaient des feintes des deux côtés de la rue, sans toutefois rompre le rythme et la direction de leurs départs. Le troupeau est resté compact pendant une courte période, avec un taureau déjà décroché sur le dernier tronçon de la pente. Saint Dimancheavant d'entrer dans le Place de la Mairie toujours avec deux licols ouvrant un groupe, suivis de trois taureaux.
Un ton qui se maintient tout au long de Marchands, un taureau tombant sur la courbe de l'Estafeta et un coureur complètement au dessus de ses pitons. Quelque chose qui, heureusement, n'a pas ralenti le klaxon de 'Le renard'. Deux licols ouvraient la marche tout au long du parcours, au sein d'un troupeau très ouvert, qui courait en ligne parallèle le long de la rue. Bureau de poste, permettant de grands écarts et des courses, dans les chutes typiques de la surpopulation et de la lutte pour pouvoir courir devant la gueule du taureau.
Les deux licols de départ s'éloignent de plus en plus d'une partie centrale formée par trois taureaux dans la dernière partie du parcours. Bureau de poste et sur la pente de Saint Dimanchesuivi d'un autre groupe composé de deux autres cornus Orge Gago et un autre décroché, après s'être cassé le python gauche, tout en maintenant le rythme de la course, pour terminer la corrida en deux minutes et quarante secondes.