Par Guillermo Leal (Mexique)
Fernando Robleño C'est arrivé hier sur une petite scène comme la toile Charroet San Francisco de Los Romo, Aguascalientes, un après-midi de tâches monumentales soutenu par le jeune hydrocalide Fermín Espinosa « Armillita », qui n'a pas perdu l'occasion de croiser un superbe taureau de Paco Cordero, courageux, classe et émotif, pour réussir à se couper les deux oreilles, remportant ainsi sa deuxième victoire consécutive cette semaine.
Le rejoneador a ouvert la célébration Jorge Hernández Garatequi a rassemblé son expérience et ses bonnes capacités de pilotage qui le caractérisent et lui permettent de rouler avec aisance depuis deux décennies. Son massacre d'un taureau Santa Fe del Campo, ce qu'il lui demandait, il avait de l'émotion et s'il n'avait pas manqué de tuer, un autre coq aurait chanté, bien que le public l'ait fait sortir pour la troisième fois.
Fernando Robleño a versé de la classe, de l'art et de la valeur dans une attitude de torero cher, sérieux, honnête et avec quand même beaucoup de richesse. Ses deux taureaux avaient de la noblesse, mais ils manquaient d'émotion, surtout le premier ; Il l'oblige à son deuxième, à fusionner encore plus avec le madrilène qui, sur une petite scène, était génial.
À son second, Fernando l'a choyé, accomplissant une tâche importante, qui a parfois fait de la toile charro de San Pancho sentait plus comme Monumental d'Aguascalientes. Le madrilène a été le maître tout l'après-midi, sans rien laisser à l'intérieur et en réalisant deux tâches convaincantes en termes d'art, d'expérience, de terrain et de touches.
Celle de sa première, récompensée par une standing ovation du public ; et, celle de son second, avec une oreille bien méritée.
La conclusion : quand la tauromachie est bien menée, quel que soit le scénario, rien ne mérite d'explications. Un après-midi de plus pour le voir que pour le raconter.
De quoi Fermín Espinosa « Armillita IV » C'est une réalité. Le garçon d'anniversaire, qui fête ses dix ans d'alternative, traverse son meilleur moment, dans lequel il croit en lui-même, en ses possibilités, en ses hauteurs et est ambitieux. Avec son premier, paria et très mauvais, il a montré pour la première fois la tauromachie, sans reculer devant l'engagement, gagnant la reconnaissance du public, le même qui l'avait autrefois sifflé, mais qui est maintenant convaincu, car il voit « Armilite IV » décidé.
Ainsi sortit son deuxième, un gros taureau de Paco Corderocourageux, émotif, de qualité et à qui Fermín Il lui donnait de longs et modérés coups de béquilles, la main basse et la silhouette droite. Puis, une fois la tâche accomplie, il a été diverti par la variété, les belles décorations et l'enthousiasme que cela provoquait dans le public. Un autre point en faveur de Fermín c'est qu'il est efficace dans la chance suprême, et c'est pour cela qu'ils lui ont accordé les deux oreilles, ainsi qu'à son ennemi, un retour bien mérité sur le ring que le torero lui-même Aguascalientes, a-t-il applaudi convaincu, avant de repartir sur les épaules comme il l'a fait dimanche dernier à Saint Michel le Grandet comme prévu le 13 Monterey et le 2 novembre à Aguascalientes.
Toile Charro de San Francisco de los Romo (Aguascalientes). Trois quarts de manche par un après-midi de beau temps. Le premier des rejones fut Santa Fe del Campo, ce qui était exigeant et sa mobilité a pris fin. Le reste, pour le combat ordinaire, de Paco Corderoavec une bonne apparence et une belle finition. Soulignant le quatrième qui était courageux, émotif et noble, qui a été récompensé par son retour sur le ring. Le premier et le troisième gagnèrent en noblesse, même s'ils manquèrent de force. Le second s’est révélé très mauvais, marginalisé et parfois orienté. Le rejoneador Jorge Hernández Garateovation après demande ; Fernando Robleñoovation et oreille ; Fermín Espinosa 'Armilita IV', paumes et deux oreilles. Incidents : le gouverneur Tere Jiménez a assisté et applaudi tout l'après-midi.
(PHOTOS AVEC LA COURTOISIE DU MEXIQUE LINDO Y TAURINO)