RÉ.à envier et rien de sain. Ce jeudi marque la différence entre la Politique avec des majuscules et la politique naine et petite. Celle d’un pays dont la qualité démocratique ne relève pas du populisme mais des droits, France. Et celle d’un pays, Espagne, dont les politiciens font de la politique un petit genre qui idolâtre le populisme et ce qu’ils diront. Une politique qui ne s’occupe pas du bruit médiatique ou des réseaux sociaux, celle de France. Et une façon de faire de la politique avec ce qu’ils vont dire dans le cerveau. Bien que ce qu’ils diront est un geste antidémocratique. Un pays où la tauromachie est interdite sauf dans seulement 60 villes du sud, Francedonne une leçon de démocratie et de droits. charon et sa fête La France insoumise ils ont dû retirer leur note en prévision d’un capital ridicule.

Jusqu’où est le politicien espagnol, de toute croyance ou acronyme, de tout parti ou idéologie, de vivre en dehors de la systole et de la diastole frénétiques et honteuses des opinions médiatiques, tribales ou des médias sociaux. Sa valeur est proportionnelle à celle des palmes qui sonnent la leur. À qui il y a du bruit contre, ses idées et ses principes cessent d’exister. Dans France, pays qui interdit la tauromachie, la classe politique a une fois de plus affirmé le droit d’une minorité (la tauromachie) sur tout populisme animalier, sur tout faux écologiste et sur toute coercition médiatique. Peu importait le cirque qui montait charonsemblables à ceux montés maintes et maintes fois par l’agitateur de crèche Pablo Iglesiasla Échenique en service ou le Chasseur.

La tauromachie, en Francea été digne parce que la politique et le politicien de France Elle est détentrice d’une stature démocratique de la taille d’une démocratie et d’un système parlementaire

La tauromachie, en Francea été digne parce que la politique et le politicien de France il est détenteur d’une stature démocratique de la taille d’une démocratie et d’un régime parlementaire. Voilà ce qu’il faut dire qu’on appelle la démocratie, avec une classe politique et un parti historique comme le PSOE, en proie à sa propre panique face aux critiques de ses partenaires qui ne cessent de faire chanter la moralité politique qu’avait le PSOE. Ils ont peur du débat ou du maintien d’une idée ou d’une liberté qu’ils abandonnent si cela leur coûte la moitié d’un vote. Enlevé par ses associés, il vend des morceaux de liberté lors d’une vente aux enchères en continu. Un parti qui crée des lois pour les castes comme celle des séditionnistes. Combien d’Espagnols peuvent commettre le crime de sédition ? Pas un citoyen ordinaire. La grande majorité des Espagnols, non. Un politicien oui. Et ce sont une poignée, mais une loi est faite pour cette caste.

Qui et combien d’Espagnols peuvent commettre un délit de détournement de fonds ? . Seule une petite minorité de privilégiés du côté du pouvoir. Eh bien, pour eux, le PSOE fait une loi à la carte. Une loi pour les voleurs d’une qualité à laquelle le peuple espagnol peut même prétendre être. Ne voulant même pas détourner de fonds, un citoyen peut le faire. Sans même vouloir être séditieux, ça peut l’être. Et le Parlement se tait, et la rue se tait, le peuple, la société qui plus tard fait du bruit contre la tauromachie et puis les politiciens de ce pays, nains, sans instruction, crèches, classe et caste à la défense du bar de plage sans lequel ils pourraient ne vivent jamais car ils sont la pierre du talent et le refus de la formation, ils se targuent de plaire. Une classe politique ridicule pour une démocratie inexistante ridicule.