Non.ou il n’y a rien de plus fasciste que de pervertir la loi de telle sorte qu’elle entrave les droits librement choisis que la même loi prétend protéger. Quelle loi a l’esprit de la loi dans la loi si 180 citoyens espagnols nains sont privés de leur droit au libre choix du travail : être torero comédien avec leurs conventions collectives réglementées, leurs droits et devoirs, leurs vocations d’être. Celui qui rédige et approuve une loi contre la liberté de choix du travail pour tout être humain, nain ou mesurant deux mètres, est un fasciste.

L’élimination en Espagne, à la pointe des bêtises et des mots d’esprit spirituels, du spectacle appelé « les toreros nains » il met ce gouvernement sur le podium de la bêtise, en même temps que, sans être écoutés, les êtres humains sont dénigrés et humiliés dans leur expression maximale de citoyens et de personnes. Rien n’est plus fasciste que de plaider pour une dignité que l’individu a déjà, en interdisant sa dignité.

« Peu importe que les deux cents toreros de ce type veuillent librement être heureux et gagner leur vie en étant ce qu’ils veulent être. Il y a un être supérieur, un Führer, un Chefune morale supérieure, qui qualifie d’insulte à un être humain ce que cet être humain qualifie de son bonheur’

Avec lui polypropylène position de profil (un jour ce parti décidera s’il veut être une Église ou une Cathédrale pour gagner les élections) en s’abstenant, VOIX contre et la collection d’acronymes de vérité unique qui font partie d’un gouvernement bouffon, nain et clown en politique et pervers dans des occurrences continues dirigées contre le pire de chaque Espagnol pour capturer leur vote, le projet de loi a été approuvé au Sénat pour donner la dentelle pour « nain torero ». Peu importe que les deux cents toreros de ce type veuillent librement être heureux et gagner leur vie en étant ce qu’ils veulent être. Il y a un être supérieur, un Führer, un Chefune morale supérieure, qui qualifie d’insulte à un être humain ce que cet être humain qualifie de bonheur.

La Constitution de tous les Espagnols dit ce qui suit dans son Article 35 : « Tous les Espagnols ont le devoir de travailler et le droit au travail, au libre choix de la profession ou du commerce, à la promotion par le travail et à une rémunération suffisante pour satisfaire leurs besoins et ceux de leur famille, sans en aucun cas pouvoir faire de discrimination fondée sur le sexe . » Cette loi, en éliminant cette liberté pour quelque 200 Espagnols, leur libre choix pour un certain travail, est inconstitutionnelle. Aucun groupe de toreros nains n’a demandé la protection de ce gouvernement ou d’un autre pour avoir été dénigré et harcelé dans son travail. Au contraire. Si elle existait, si la liberté de l’individu était supprimée, si son intégrité en tant qu’être humain était l’objet de moquerie ou de cruauté et que cet individu le réclamait, que la loi soit faite. Loi par et pour le peuple, pas des lois pour les idées morales de tant de stupides avec un certificat de garantie.

« Cette pratique constante de légiférer encore et encore à la lettre d’une morale, c’est du fascisme. Sauver un individu, plein de raison et de liberté, de ce qui ne veut pas être sauvé, c’est du fascisme.

Il n’y a pas de législation sur la morale ou les concepts ou idées de parti. Il est légiféré pour les particuliers. Cette pratique constante de légiférer encore et encore à la lettre d’une morale, c’est du fascisme. Sauver un individu, plein de raison et de liberté, de ce qui ne veut pas être sauvé, c’est du fascisme. C’est dans l’esprit le plus démocratique, c’est dans le sens le plus strict de l’État de droit. S’il est vrai que le bonheur, comme dit Benjamin Franklin, Ce n’est pas en soi un droit constitutionnel, il doit ouvrir la voie pour que chaque individu en soit un. Et le citoyen espagnol trouve dans le libre choix de son travail la possibilité d’être heureux. Les acclamations et les acclamations et les applaudissements recueillis par le toreros nains, en plus de leur salaire, dans le cadre d’une réglementation légale et statutaire, leur confère d’abord, un statut de travail, une identification de leur personnalité, une protection vitale et un signe d’identité. C’est le bonheur.

Ceux qui ont donné naissance à cette loi disent qu’ils chercheront la « réintégration » au travail. Mais quelle démagogie cruelle est-ce de dire qu’un torero comique va être réinséré sur le lieu de travail contre son gré ? Quelle cruauté est plus grande ? N’est-ce pas là le plus grand vexation et enlèvement de dignité pour un être humain ? Ce pays galope sans frein vers le maquillage le plus subtil du totalitarisme en utilisant les tuyaux de la démocratie elle-même. Utiliser les canaux de la démocratie et de ses institutions pour élever sa propre moralité au rang de loi, c’est le retour du fascisme. Quand on parle de « mémoire historique », on parle de sa propre mémoire morale et on occulte le fait que le totalitarisme de tout signe est arrivé au pouvoir en empruntant les voies du États de droit.

« Ceux qui ont donné naissance à cette loi disent qu’ils chercheront la « réinsertion » professionnelle. Mais quelle démagogie cruelle est-ce à dire à un torero comique qui va être réinséré au travail contre son gré ?

Une mémoire historique couverte, cachée, réduite au silence pour créer une société avec le nanisme mental et culturel, le nanisme de la tolérance, l’achondroplasie morale, l’hitlérisme moral. On se demande quel handicap, ce que dit la loi, ressentir un torero nain. Aucun. C’est la loi qui la marque comme une naine et qui va l’envoyer dans la rue pour vendre, quelle dignité, la même pour aujourd’hui. Ce prétendu pays appelé Espagne il se dirige vers tant de choses que bientôt verbaliser ou écrire le mot nain sera un crime. seront interdits, en même temps, blanche neige sept nains pour avilir et nous aurons fait Espagne un endroit où, pour parler, il faudra porter des volumes de lois sous le bras et chercher quel mot utiliser qui ne soit pas un crime et quel acte accomplir qui n’en soit pas coupable. Nous avons Ministère des droits sociaux, un nom très proche du franquisme ou du nazisme, la Section des femmes ou la Ligue nationale-socialiste des femmes. Mémoire historique : l’histoire se répète, et si elle ne se répète pas, elle a tendance à revenir.