Guillermo Leal
LÉON, Guanajuato.- La seule oreille de l’après-midi était pour Antonio Ferrera qui maintient son hégémonie dans celle de la spontanéité et de l’inspiration dans sa tauromachie.
Quand j’arrive à Mexique il y avait ceux qui ne comprenaient pas son hétérodoxie, aujourd’hui on en jouit.
Son manteau bleu sans la rigidité du bicolore, celui qui demande la permission comme hier pour qu’un seul picador sorte sur le ring et brille ainsi dans la chance des verges au picador et au taureau, comme c’était avec le brave quatrième que a été arraché de plus de 20 mètres en chevauchant le picador Mauro Prado qui a honoré son expérience et sa qualité de varilarguero.
Ses tâches ne sont pas préconçues, avec des lots parfois longs, d’autres fois courts, mais tous empreints du sentiment qui se dégage de Ferrera Du fond.
Ses fentes de marche qui n’ont parfois pas un placement idéal, mais qui sont originales.
Enfin une corrida sui generis qui peu à peu est entré dans le goût du public mexicain.
Hier dans Liontout cela a été rendu présent avec deux bons taureaux de de la mûrede comportement différent, courageux, surtout son premier, et avec noblesse et qualité son second, le meilleur de l’après-midi qui a mérité les honneurs de la drague lente.
Il leur a donné à tous les deux le bon combat, les deux ont eu la chance de tomber sur Ferrera et Ferrera les avoir compris et faire valoir les atouts et les qualités d’un élevage qui est placé à sa place privilégiée, main dans la main avec son éleveur Luis Alberto Villarreal.
Les taureaux étaient lents à tourner et pour cette raison peut-être au moins trois épis se sont échappés. Au final, il n’y en a qu’un qui n’a pas convaincu tout le monde et dont les avis étaient partagés, même si ce qui n’a jamais été contesté, c’est le désir de Ferrera pour bien se battre, avec classe et livraison.
Fermín Espinosa Díaz de León « Armillita IV » tuvo momentos de verdadero artista, con un toreo bello, de mano muy baja, figura erguida y acompañamiento de cintura, ese tan personal en su dinastía, sólo que ayer ninguna de sus dos faenas se pudo concretar con la espada y por ello no pudo cortar les oreilles.
L’important est que l’hydrocálido qui a maintenant eu l’occasion de se battre davantage, soit confiant et plus solvable.
Pour José Maria Hermosillo C’était le lot le moins propice et avec les deux, le torero dégingandé marchait ferme et volontaire, seulement il ne pouvait pas faire grand-chose car bien qu’il y ait des ciseaux, pas tellement de tissu.
DÉPOSER
Arènes de la Luz Lion, Guanajuato. Un peu moins d’une demi-après-midi dans un après-midi agréable, sans vent et très ensoleillé.
taureaux de de la mûreélevé par Luis Alberto Villarrealtous de bonne présence, de belles formes et d’âge.
Ils ont tous rechargé les chevaux. Le quatrième a réalisé un spectaculaire tiers de barres alors qu’il s’élançait courageusement de 20 mètres. Ce cor avait aussi de la classe et de la noblesse, c’est pourquoi il a reçu la traînée lente.
Le premier et le second se sont également démarqués comme étant courageux, celui-ci ayant eu beaucoup d’émotion. Les troisième et sixième ont été ternes et la cinquième a été de courte durée.
Détails : Une minute de silence a été demandée, que le public a applaudie en mémoire de Juan Arturo Torreslanda « El Pollo ».
Antonio Ferrera Il a porté un toast pour s’en souvenir, avec un genou dans le sable son premier.
L’Espagnol demanda l’autorisation à l’autorité pour que, dans ses taureaux, un seul picador sorte et fasse ainsi partir le cor de loin.