Les mensonges expirent avec les données. La Tauromachie a réussi à sortir de la pire crise de son histoire, atteignant les meilleures données pour célébrer les célébrations, au moins, au cours de la dernière décennie. En Espagne, le nombre mythique des 1000 festivités a été dépassé. Plus précisément, selon les statistiques de mundotoro.com1 001 grandes festivités ont été célébrées en Espagne. Un jalon historique qui pulvérise les records des célébrations de la dernière année de « normalité » (2019) en célébrations plus larges : du 1001 célébré cette année au 793 de l’année 2019.

La saison qui se termine, et qui a encore un peu de célébration résiduelle, améliore les chiffres de la décennie. En 2012, la première année sans taureaux au total Catalogne, 958 festivités ont eu lieu. Ce surplus de données n’atteint pas le nombre de populations ayant produit des taureaux. 422 communes ont donné des taureaux en 2022, contre 434 en 2012. Cependant, la reprise des villes avec des taureaux est possible : cette année des taureaux ont été annoncés dans 422 localités, contre 377 communes qui l’ont fait en 2019.

Passer des mille grandes festivités, c’est revenir à des chiffres qui donnent de l’optimisme à un secteur qui sort de sa pire crise historique sans aides ni subventions (celles-ci sont perçues par les Fondation Fighting Bull) entité qui a célébré moins de festivités qu’en 2020. En revanche, ces plus de 1 000 festivités se sont déroulées sur une période plus longue. C’est-à-dire qu’ils se sont étendus dans un espace où ils sont moins concentrés. Sans aucun doute, le fait de programmer de manière plus espacée a aidé ces données historiques.