décrire avec des mots la corrida de Juan Ortega dans Valladolid C’est une tentative stérile et même stupide ou audacieuse, car il s’agirait de désécrire l’art taurin. Et aussi parce que ce qui ne peut pas être, ne peut pas être et, en outre, est impossible. Étant donné que la tâche consiste à placer, dans la seconde, une œuvre d’art ronde devant un taureau avec une meilleure broderie que l’arrivée, ce qu’il a fait à la cinquième dépasse l’imagination de la tauromachie la plus lente qui existe. D’un battement serré avec la cape qui valait déjà le prix d’entrée, nous sommes passés à un départ à deux mains pour entrer dans le taureau, avec une tranchée qui, étant lente, durait le temps d’un tour. Ensuite, une œuvre insistant sur la tauromachie de réduire, de rassembler, de se mettre tellement à l’intérieur et tellement en cercle que la lenteur d’une danse qui était taurine, restera à jamais gravée dans les mémoires. Quelle façon de se battre. Lorsque la corrida se déroule ainsi, il n’y a ni Dieu ni écrivain pour donner un titre. quoi mettre Don Juan Ortega tout ce que vous voulez.

Avec un parcours entre vulgaire et exaspérant Cuvillo, beaucoup de paresse absolue celle de Urdiales, celui qui a été laissé pour Pablo Aguado et un chapeau de mobilité sans livraison de Lorette Charro, l’après-midi est resté dans ce qu’il a dit Juan. Il a servi et même cassé le second entre les mains d’un deal qui consistait à bercer le berceau d’un enfant. On en a tenu la cinquième, qui visait à aller au mur, mais qui était la plus classe, permettant Juan Ortega, non pas une tâche, mais une œuvre d’art qui ne rentre pas dans le cadre Prairie.

Les moulages au rythme, cape devant, taille et bras froncés, pics. Le taureau à son rythme et menaçant de s’enfoncer dans les terres, lorsqu’il se retrouva seul avec le taureau, Juan Ortega Il a mis son corps dans l’intention de créer, jambe génuflexée, mains et bras en rythme dans la tauromachie aidé sans casser le taureau, lentement, en avant, avec une superbe fin où quelque chose qui ressemblait à une tranchée, le corps droit, les mains baissées, a duré un éternité. Un tour avec la droite avec deux muletazos centraux de celui coupé dans le temps et l’espace, a tellement magnétisé le taureau qu’il a semblé décidé de ne pas abandonner et de continuer à charger. Cela ne s’est pas produit, mais le taureau s’est si bien battu que cela a dissipé les doutes respectables : le taureau a sorti une pancarte annonçant qu’il ne craquerait pas.

Grâce aux deux pitons, cette tauromachie est née là où il n’y a pas de terrain pour le taureau ou le torero, par rencontre. Où il n’y a pas de temps à cause de la réduction de la vitesse (car la trempe est un avant le sublime, qui est ce qui vient après la trempe, la vitesse de l’escargot). Quand le taureau périssait, il le remettait en ordre d’un seul coup et les deux cercles ne semblaient pas si liés et si lents. La tauromachie naturelle, de citer sans touches mais en attendant, la rate rien en avance ni en arrière, la paume de la main tout, et les vols de muleta s’ouvrant en courbe. Et une finale à deux mains de tauromachie maximale avant de courir après l’épée à tout va. La tâche est mal décrite, mais c’était plus ou moins comme ça.

Le deuxième point était important, car c’était un taureau qui ne voulait pas avancer, tournant rapidement la tête et remplaçant presque ses mains. Puisque la corrida est une intention (l’attitude va dans l’intention et non l’inverse), les attaques, même celles déclenchées en retournant le taureau face visible, étaient de première classe. Le début de la tâche ne pouvait pas être plus taurin, et le traitement exquis en faveur d’une bonne tauromachie toujours, ils ont même fait en sorte que le taureau arrête de lâcher sa face et le pousse jusqu’au bout avec des coups naturels, une cadence et une lenteur de catégorie, avant de partir. après que l’épée soit partie, elle a rebondi dès le début. Un après-midi qui, s’il est fait à Séville soit Madrid, prudent.

De quoi Pablo Aguado Ce n’était pas une chose mineure. Bons sets et meilleures intentions avec le troisième, un galéo avec panache pour Chicuelo, et un retrait pour le même costume. C’était un taureau pour se laisser faire, mais pas pour faire un travail. Un début avec une belle coupe avec la patte génuflexée, des lots de bonne esthétique qui ne s’accompagnaient d’aucune classe chez le taureau. Et une fermeture à deux mains d’une beauté remarquable. Travail d’oreille s’il tue bientôt.

Le chapeau de Lorette Charro, maigre de tête et de corps, étroit aux tempes, mais sérieux, il sortait avec les pieds, heurtait un trottoir et bougeait beaucoup, mieux dans les capes de combat, qui, en perdant des pas, étaient différentes de celles lorsqu’on combattait des taureaux. avant. Taureau de mobilité au visage lâche et parfois même génial. Un travail long, avec beaucoup d’efforts, main droite, main gauche, sans que le taureau ne cède jamais ni ne lâche une charge. Une crevaison profonde pour amener le taureau à se pencher et à sortir une autre oreille.

Le romarin était inutile à cause de son manque de force et de course, toujours sur les mains et sans le traverser, c’était le premier des Urdiales. Bâtard de type et boiterie sans race le quatrième. Même si ce n’était pas peu, mais étrange du tout, le torero a été patient pour justifier ce qui était juste, en le voyant sur cette place après l’année dernière. Les tueries en deux coups. Aussi, quand l’après-midi va à quelqu’un et appartient à quelqu’un, eh bien, c’est comme ça. Et donne un titre à tout cela Juan Ortega.

Feuille de célébration :

arène Valladolid. Quatrième de la Foire. Plus d’une demi-entrée. taureaux de Núñez del Cuvillo et María Loreto Charro (6e bis), présence correcte. Plus grand quatrième et cinquième. Annuler le premier et le quatrième. Plus le deuxième et le cinquième de bonne qualité. Il restait le troisième. Le sixième chapeau bua. De Maria Loreto Charro de plus de mobilité que de livraison.

DIEGO URDIALES, ovation et ovation

•JUAN ORTEGA, deux oreilles et deux oreilles

PABLO AGUADO, ovation et ovation après avis