Tout au long de cette interview, notre protagoniste nous dit qu’il vit 24 heures pour le cheval, à tel point que Juan Manuel Cordero assiste gentiment à desdelcallejon.com sans descendre de selle et tester les 17 chevaux qui l’accompagneront cette saison.

Juan Manuel Cordero, un chevalier taurin, a vu la lumière pour la première fois dans la ville taurine de Coria del Río à Séville le 28 septembre de l’année olympique 1982, du berceau il a souligné un artiste, dans son cas un artiste de tauromachie , il a pris l’alternative à Osuna (Séville) partageant l’affiche avec Pablo Hermoso de Mendoza et Diego Ventura avec des taureaux de Benítez Cubero le 16 mai 2010.

Le lendemain de San José, le 19 mars, commence sa saison 2016 à Espartinas dans une corrida mixte, une saison qui, comme il le dit, s’annonce bien avec un nouveau mandataire en la personne de Francisco José Lorenzo, revient sur le ring après la blessure à l’épaule survenue la saison dernière à Valencia de Don Juan et qui l’a forcé à écourter la saison, laissant quelques célébrations en suspens.

-Comment Juan Manuel Cordero a-t-il décidé d’être torero ?

Mon père était banderillero pour Javier Buendía et Depuis que je suis enfant, il m’a emmené aux corridas et aux corridas et à partir de là, j’ai pesé avec la passion des chevaux et des taureaux.

-Qui a été votre plus grand soutien ?

Sans aucun doute mes parents

-Qui est ta référence dans le rejoneo et pourquoi ?

Je fais attention à tous mes camarades de classe parce que j’apprends quelque chose de bien de chacun d’eux, mais mon idole est Javier Buendía

-Comment s’est passée la saison 2015 ?

C’était court parce que j’ai pris des cours d’épaule quand je combattais à Valencias de Don Juan et j’ai dû écourter la saison

-Comment 2016 vous est-il présenté ?

Ça s’annonce bien, on démarre le 19 mars à Espartina.

-Combien de temps passez-vous à assembler cadun jour?

C’est un métier qui s’exerce 24 heures sur les chevaux

-Comment sont répartis les pourcentages de réussite ?c’est chevalier, cheval et taureau ?

Le pourcentage est des trois chevaux taureau et rejoneador à parts égales

-Combien de chevaux avez-vous dans votre écurie et parmi eux en avez-vous que vous ayez préparé dès le poulinage ?

J’ai 17 chevaux dans l’écurie de combat et ils sont tous préparés par moi à partir de poulain

-Combien de temps faut-il pour préparer un cheval pour le rejoneo ?

Bon selon l’état du cheval mais au moins un à deux ans, ils sont généralement prêts à se battre

-Quel genre de tauromachie veux-tu transmettre ?

J’aime me battre très lentement et de face, j’aime aussi mettre la banderille sur l’étrier.

Les rejoneadores disent généralement que le cheval et le rejoneador ne font qu’un, pouvez-vous m’expliquer cela ?

Nous les rejoignons, il est indispensable de fusionner en un pour transmettre au public

-Que diriez-vous aux fans qui sont tant attaqués ?

Ils ne connaissent pas la liberté que les taureaux de combat vivent dans les pâturages et prennent soin d’eux, plus que tout autre animal.