La Course de printemps de Mérida Elle s'est déroulée dans une grande attente dans les tribunes, compte tenu de l'affiche flashy annoncée. Et l’après-midi n’était que ça, éblouissant. Talavante laissé dans le Arène de San Albín sa meilleure tauromachie, celle qui résonne et met le public debout. Il avait déjà marché une oreille de la seconde dans l'après-midi lorsqu'il en a atteint une bonne cinquième, applaudie dans la traînée, qui avait les deux oreilles coupées. Roi Rocher Il arracha les oreilles de son premier taureau et coupa une autre oreille au sixième. Un après-midi au cours duquel le Péruvien a tout montré, de sa corrida la plus esthétique et la plus profonde à sa tauromachie de courage et de courage. Morante imprégné de tauromachie et de classicisme Mérida dans le quatrième, auquel il coupa une lourde oreille.
Il a bien placé son visage pour les deux pitons le troisième de l'après-midi dans le salut capotero de Andrés Roca Rey. Le Péruvien et son équipage ont pris soin de l'animal pendant le combat, grâce à sa force mesurée, qui a été restituée pour qu'un autre chapeau puisse sortir. Au troisième rappel Rocher Il l'a caillé dans les deux pitons, combinant les muletazos avec le pouls et la lenteur. Il mesura la série, car l'animal voulait plus qu'il ne pouvait, et termina la tâche en poussant. Fente et deux oreilles
Le sixième a levé les mains en avant lors du salut capotero du Péruvien le sixième de l'après-midi. Rocher Il a cimenté une tâche basée sur la longue file d’attente. Le meilleur est venu naturellement, le piton avec lequel le Péruvien a fabriqué le cor en se basant sur la profondeur, l'esthétique et la verticalité. A droite, il cherchait le lien, exigeant le taureau. Une dernière œuvre d'indigènes pieds joints s'installe. Oreille.
Talavante Dans le cinquième, il a trouvé un taureau qui avait un moteur puisqu'il sortait des enclos, qu'il a reçu avec quelques véroniques taurines basses. L'animal s'est fait remarquer pendant les premiers tiers, atteignant la béquille dans de très bonnes conditions. Avec un si bon matériel, ça a fait du désordre. Il s'est saoulé à force de se battre pour les deux pitons avec les meilleurs Talavante ça vient de la saison. Mérida » éclata aux cris de « Torero, torero ! dans une tâche suprême et imaginative avec un taureau chargé avec classe avec le python à l'intérieur. Épée et deux oreilles avec demande de queue.
Abanto est sorti le deuxième de l'après-midi, il ne s'est pas arrêté avant le cap de Talavante. L'homme d'Estrémadure l'a retenu en allant le chercher dans les médias et là, il l'a jeté les pieds joints, toujours gêné par le vent. Le combat de Javier Ambel. Talavante Il a structuré une tâche très personnelle via le piton gauche, où les naturels ont émergé en douceur à mi-hauteur, sans trop exiger de son adversaire. Dans sa main droite, il a mis toute l'étincelle qui manquait au taureau. Fente et oreille
Une corne inférieure, placée de pitons, que le cigarier reçut avec une exquise corrida de Véronique. La tâche était une œuvre d’art. Morante Il s'est battu avec ses poignets endormis par les deux pitons, composant la figure et laissant des muletazos magnifiquement dessinés. C'est dommage que le taureau ait disparu. Malgré cela, celui de La Puebla puisa dans les ressources de l'art pur. Fente et oreille avec demande pour la seconde.
Il a ouvert le Course de printemps un taureau rouge qui a mis ses mains devant le cap de Morante. Le Sévillan a tenté d'agir, mais l'état du taureau et le vent ont gâché la salutation. L'animal était soigné pendant le combat avec sa cape relevée, car il montrait juste assez de force. Inédit Jose Antonio avec le premier de son lot puisqu'il n'était pas debout et après quelques tentatives de coups de béquilles, le taureau se coucha et dut être abattu. Silence.