Les conditions de l’appel d’offres public pour l’utilisation de la place Sainte Marie de Bogotá (Colombie) commet une fois de plus un outrage à la décision du Tribunal (Cour constitutionnelle) de Colombie. Après que les revendications pour le droit de donner des taureaux dans ces arènes aient fait abandonner le maire anti-corrida Claudia Lópezsous peine d’être accusé d’outrage, la formulation des conditions d’exploitation se moque une fois de plus du Haute Cour colombienne en imposant une série de mesures visant à interdire les rapières, les banderilles, les pujas… C’est-à-dire qu’ils mettent les arènes en compétition pour un spectacle qui n’est pas la tauromachie, mais autre chose. Une fraude à la loi.
Dans un copier-coller qui n’a pas fonctionné car illégal en Espagne, La mairie tente de dépasser son pouvoir au-dessus du pouvoir de la loi, comme cela a été le cas dans Palma de Majorque. Les tribunaux ont mis en garde contre la tricherie, la fraude et l’illégalité de ces mesures. Aujourd’hui, le populisme colombien fait un rappel. Une stratégie visant à élargir une fois de plus le droit de donner à chacun normalement Bogotá. Une nouvelle protection sera présentée, la mairie devra rectifier et l’ensemble du processus sera à nouveau retardé dans une position de mépris absolu de la loi.
Il existe une succession grossière de mensonges qui tentent de justifier cette idée prohibitionniste. La maire ment quand elle dit : « Les villes et régions espagnoles telles que Catalogne, Tossa de Mar, Vilamacolum et La Vajo…ont légiféré de manière indépendante contre le Corridaselon la Société humanitaire internationale‘. Un mensonge de cathédrale. En Espagne, personne ne peut légiférer contre Loi et du Constitution, comme indiqué dans les condamnations du TC espagnol contre l’interdiction des taureaux en Catalogne, où ils sont 100% légaux. Ils sont présents sur tout le territoire du État espagnol.
Il est faux de devoir contester « la législation (sic) » de ces villes, qui n’ont aucun pouvoir législatif. Parce qu’ils n’en ont pas, ils n’ont même pas d’arènes. D’un autre côté, le Société humanitaire internationale Elle n’apparaît nulle part comme une telle entité. Une farce.