Guillermo Leal

Pour la première fois de son histoire, le Place du Mexique on l’empêche de fêter son anniversaire comme on le fait depuis au moins trois décennies : avec une fête taurine.

Aujourd’hui, un groupe prohibitionniste, avalisé par l’intérêt personnel, et non la justice, d’un juge, l’évite.

Ils ont laissé des milliers de personnes sans exercer leur droit de profiter de ce qu’ils aiment, ce qui les passionne et ce qui les passionne.

A beaucoup d’autres sans exercer une profession d’avocat qui est aussi le gagne-pain de leurs familles, ce qui est méprisable, lorsqu’il s’agit d’êtres humains pensants et que certains prennent le pain de la bouche des autres.

C’est le monde !

Hier donc, le Place du Mexique L’intérieur avait l’air propre, vide, mais avec une tapisserie de sciure de bois peinte d’un mot éloquent qui est le vœu fervent des professionnels et des fans de la brava party : « Liberté ! ».

L’entreprise s’est rendue chez les artisans de Huamantleco pour la capturer dans l’arène inaugurée il y a 77 ans et dans laquelle des histoires ont été écrites qui ont donné naissance à la tauromachie mondiale.

Là, sur cette scène, qu’ils maintiennent en parfait état, prête à ouvrir aujourd’hui et à ramener la brava party, les fans, certains, pas ceux que vous vouliez, se sont réunis, certains avec leurs bottes traditionnelles, d’autres vêtus de valises, mais tous dans le seul but de faire savoir qu’il y en a qui continuent à demander, sans violence, contrairement à ce que font les « animaliers », que la tauromachie soit respectée.

Et pour cela, il a lancé une campagne de collecte de signatures que l’Institut national électoral devra approuver puis les présenter aux autorités et présenter une initiative qui vise à défendre la tauromachie et le droit de l’exercer par les professionnels et d’en profiter par les fans. , comme un spectacle légitime, générateur d’emplois et de ressources économiques.

Le MexiqueEh bien, hier, à l’âge de 77 ans, il avait la vie, pas celle qui aurait été favorisée par un spectacle de tauromachie, mais après tout, la vie et les sensations qui sont provoquées rien qu’en s’approchant de l’arène qui a été, est et sera be for life , la plus grande arène du monde.