3ème. Nº 140, ‘Secretario’, châtaigne bragado, 535 kg., du 19/02. De Jandilla. Pour Pablo Aguado.

Court, avec un cou, sérieux et de bonne facture le troisième. Pablo Aguado très volontaire, qui aime bien Verónica malgré la difficulté du vent devant un taureau gourmand et qui est habitué. Il se laisse frapper lors de la première rencontre avec le cheval mais se balance en quittant la cuirasse. Il galope en allant à la cuirasse, la punition est dosée et il se balance à nouveau car il est en bon état et est utilisé.

2ème. Nº 162, ‘Lodazal’, noir, 525 kgs., daté 11/18. De Jandilla. Pour José María Manzanares.

La seconde est plus étroite au niveau des tempes, montrant les pointes, en amont et de forme plus grossière. Il sort lâche. l’arrête manzanares et il s’en prend aux médias, gagnant du terrain sur un taureau avec peu d’éclat dans la cape qui se couche près du python gauche. bon coup de Paco Maria, qui dose la punition. Brandir à la sortie de la cuirasse. Il sonne l’étrier dans le second et ils le frappent plus fort que dans le premier coup de poing. Il se déplace en banderilles.

Il se plie avec lui au début de la tâche pour le faire sortir au troisième. Noble et avec un bon python droit, il prend bien et promptement la béquille mais quand sa main descend il perd ses mains. Bon lot avec la droite de l’homme d’Alicante devant un taureau avec lequel il attaque avec classe, transmission et mobilité, qu’il faut combattre avec courage et main basse car à hauteur moyenne il proteste. Le vent est très gênant vergers de pommiers, qui prend l’air au taureau réalise une série avec une meilleure ligne, avec une égalité dans la seconde et aussi dans la suivante.

Lors du passage de la béquille à la main gauche, il baisse la main mais le taureau la brandit à nouveau. Le tour suivant est plus naturel, bien que le taureau charge mieux à travers le python droit. Manzanares revient à droite, réalisant deux autres séries, la main baissée avec émotion devant un taureau courageux et gourmand et se battant avec le vent, qui agite la béquille comme un drapeau. Fente basse. Ovation.

1er. N° 78. ‘Hysterical’, ruban noir, 530 kg., du 10/18. De Jandilla. Pour Sébastien Castella.

Tempes larges, très graves, girouettes et basses, les premières un peu camouflées et profondes. Il le lance doucement Château, avant le vent agaçant et un taureau qui charge avec ses mains devant, sans l’utiliser et quelque chose de lâche qui sort de chaque poussée. Poussez dans la cuirasse en combattant avec un python. Ils dosent la punition dans cette première tige. Il perd ses mains en quittant le premier match après le capot de Raphaël Vitti. Il est cru dans la seconde, pratiquement sans hachage. Bonne paire le tiers de José Chaconexposant.

doublons de toreros Château au début de l’abattage devant un taureau qui avait de la mobilité mais une force moyenne. Lorsqu’il la force avec sa main droite, il perd ses mains et proteste un peu contrarié. le vent continue de déranger et Château Il le teste sur son pied gauche, proprement, mais le taureau se défend face vers le haut et en pointant les trucs. Travail soigné du Français, qui extrait des béquilles propres avec mérite avant un autre qui pointille les tours et quand il est maîtrisé il perd ses mains. Deux lots méritoires avec la main droite de Château devant un taureau noble mais de peu de race, de force et de zèle. Impeccable Castella. Le Français est décrit et exécute bien la chance mais laisse une fente basse. Silence.

Feuille de célébration :

arène de Ventes (Madrid). Neuvième célébration d’abonnement de la Foire de San Isidro. « Pas de billets ». taureaux de jandilla et Vegahermosa (6ème), .

SÉBASTIEN CASTELLAsilence.

JOSE MARIA MANZANARESovations ;

PAUL ARROSÉ,

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