Guillermo Leal
Allemand Mercado Lamml’un des éleveurs les plus importants de Mexique évalué Julián López « El Juli » en deux mots : ‘un professeur exceptionnel ».
Le 5 février 2005, juste au moment où Place Mexique célébré les 59 ans de son inauguration, deux noms se sont réunis dans un événement historique : « Trojano » de l’élevage de bétail de Monte Cristo et « El Juli » qui est devenu ce jour-là le seul torero espagnol à avoir réussi à gracier un taureau – ‘Paroissien’ de la Vente du refuge-, et un taureau, dans le Capitale monumentale.
Titre que jusqu’à aujourd’hui, 18 ans plus tard, personne n’a pu égaler, encore moins surpasser. « Trojano » était un taureau courageux pas comme les autres, qui a permis julien accomplir une tâche qui frôlait l’extase parce qu’elle était un recueil de technique et d’art de la part du torero, et de classe et de noblesse, caractéristiques du taureau mexicain. Cet anniversaire lui rappelle Marché allemand, propriétaire et éleveur de ‘Troyen’ comme l’un de ses nombreux souvenirs indélébiles de sa carrière déjà longue et triomphante d’éleveur de bétail.
« Ce taureau – dont la tête est exposée dans l’une des salles de la ferme Hidalgo avec ses couleurs d’évêque, vert et or – a été l’un des taureaux les plus complets que j’ai vu et apprécié. ET Julien, un des toreros les plus complets, avec la meilleure technique, un maître exceptionnel qui nous a permis ce jour-là de confirmer que le travail dans l’élevage en valait la peine, et en tant que fan, de s’enthousiasmer pour un spectacle unique comme la fête taurine . ‘El Juli’ est venu plusieurs fois dans la maison et chaque fois qu’il vient, nous restons sous sa tête. ‘Troyen’ en nous souvenant de l’après-midi glorieux que nous avons vécu et dont, fièrement, nous étions les protagonistes »l’éleveur a reconnu Marché de Lamm.
Il y a quelques années, le sien julien noté ‘Troyen’ comme un taureau ‘extraordinaire, avec du courage, de la cupidité, mais aussi beaucoup de classe et de noblesse. Un des taureaux qui m’a permis de profiter de la tauromachie que j’aime beaucoup, de dominer sa bravoure et ensuite de me permettre de profiter de chacun des muletazos. Sans aucun doute, l’une des meilleures tâches de ma vie’a ajouté le torero madrilène.
Quelques heures avant ses adieux, sûrement Julien, le professeur ne pourra pas oublier cet après-midi au Mexique ce qui l’a confirmé comme l’une des grandes figures mondiales de la tauromachie.