La Corrida Le chat a pris les devants, pour l’instant. 2023 a été une année importante pour le secteur américain. La lutte de ceux qui n’ont pas toléré l’interdiction de leur vie, de leur travail et de leur essence culturelle a vu fleurir leur cause. La justice a appliqué la loi dans Mexique et en La Colombie. Les tentatives prohibitionnistes et les réglementations restrictives sur les taureaux qui devenaient à la mode Amérique Ces dernières années, ils ont ainsi atteint un tournant. Comme c’est arrivé dans Espagne avec l’interdiction des taureaux dans Catalogne et son annulation ultérieure par le Cour constitutionnelle, les décisions appliquées par le Cour suprême sur Le Mexique et la Cour constitutionnelle sur la Santamaria de Bogota Ils servent de précédent et protègent le Corrida d’interdictions unilatérales non convenues avec le citoyen.
Le 10 janvier, le Cour constitutionnelle de Colombie a ordonné la restitution immédiate des Arènes de Santamaría ‘comme scène pour la représentation de spectacles taurins, comme scène de première classe, conformément à la loi 916 de 2004 ». Et il précisait également que « Le spectacle taurin doit être maintenu dans son intégrité comme le prévoit la loi 916 de 2004. Les conseils municipaux n’ont pas le pouvoir de modifier et d’éliminer des tiers ou des éléments de la fête. » Une position ferme contre les interdictions des pujas et des banderilles dans les localités du pays. Après une longue lutte, le 26 septembre, la place fut à nouveau remise en compétition.
Mais la plus grande victoire pour La corrida, non seulement américaine mais mondiale, a été la décision du Cour suprême Mexicain le 6 décembre. L’importante instance judiciaire a pris une décision unanime : la suspension définitive de 2022 était illégale, écartant ainsi la protection accordée par un juge fédéral à l’animalité qui est envisagée dans la région. On parle déjà d’un éventuel retour des taureaux dans les arènes ayant la plus grande capacité du monde pour ce mois de janvier. Cette 2023 restera dans les mémoires comme l’année du retour des taureaux. Comme l’année où Corrida a vu sa liberté objectivement reconnue dans la loi. Même ainsi, les taureaux ne cesseront pas d’être attaqués, mais désormais seul leur avenir peut être décidé démocratiquement.