L’histoire de la corrida revient à Talavera. Il y a longtemps que la ville de Tolède n’a pas pu montrer avec fierté que dans son capricieux Les droitiers les plus pointus des rangs ont fait le paseíllo. Il était impensable d’imaginer que sous les bruits de Arrogant on pouvait voir trois nattes qui venaient d’entrer dans l’histoire.

Les années de splendeur de l’arène reflètent des noms de la stature de Manuel Benítez, Palomo Linares, Espartaco, El Viti, le presque propre Paco Camino, Diego Puerta, José Tomás, Ponce… Jusqu’à il y a une vingtaine d’années, la difficulté était que les grands personnages n’allaient pas Talavera.

La chute du marché du bétail, le déclin des vergers et des fermes laitières, ainsi que le déclin du marché du textile, ont fait décliner les cartels jusqu’à ce qu’ils talavera a commencé à ne pas compter dans le calendrier taurin des chiffres.

le 26 avril dernier habitant de la Puebla est entré dans l’histoire en se coupant la queue Maîtrise se terminant par une « procession de la passion » jusqu’à l’hôtel Côlon. seulement deux semaines plus tard talavera aura l’idole dans son arène.

25 ans au sommet de la tauromachie ne s’accomplissent pas à chaque saison et talavera peut montrer fièrement le juillet fera l’un de ces arrêts au Céramique Ville conscient de l’histoire de l’arène et après s’être proclamé vainqueur de l’une des deux festivités les plus importantes de l’année comme la Résurrection sévillane.

L’autre facteur dans un événement comme celui-ci est un autre torero qui entre dans l’histoire par sa précocité et qui est Thomas Roufo avec deux Portes du Prince en deux saisons consécutives. talavera a un torero pour se battre avec les chiffres, quelque chose qui ne s’est pas produit depuis l’époque de Grégory Sanchez, adopté comme sien.

talavera C’est une ville qui retrouve son sourire grâce à des événements comme celui-ci qui rappellent les années dorées de la ville et qui ont fait que la fréquentation des hôtels et des restaurants a atteint des chiffres dont on ne se souvenait pas.