Si quelque chose a caractérisé Monde de taureaux Depuis sa création, c’est la lutte contre le faux animalisme et l’environnementalisme. Ce qui équivaut au mascotisme qu’ils s’obstinent à vendre du côté du progressisme avec une supériorité morale plus proche de la dictature. Pensez et faites dans la même perspective. Noir ou blanc. Progressiste ou fasciste.

La relation humain/animal n’est pas une relation de cruauté. Absolument. La cruauté de l’homme envers les animaux est l’exception dans toutes les cultures, au même titre que la cruauté de l’homme envers l’homme. Mais c’est sous cette idée de cruauté généralisée, à partir de laquelle les lois sur le bien-être animal ont été historiquement rédigées. Le tout sous la devise : meilleur traitement des animaux, meilleure société. Le tout protégé par une sensibilité (sensibilité) créée à partir du détournement de la culture humaniste du bon traitement. Et tous, en dehors ou contre le monde rural et au profit de la vision animalière de la ville, lieu où vit le pouvoir.
Sous tous les fils conducteurs publiés au cours de ces deux décennies Monde de taureaux et l’appel d’urgence contre l’animalisme, l’union émerge pour l’arrêter. Pour donner un revers moral. De toutes les zones en danger. Nous ne parlons pas non plus de la tauromachie, mais de la recherche constante d’imposer une éthique et une morale qui, sous le principe de l’environnementalisme, ne cherche rien d’autre que de sombrer le monde rural, l’agriculture, la relation la plus pure entre l’homme et l’animal. Parce que? Parce que cette idée de relation n’apporte pas d’avantages, elle ne rapporte pas d’affaires.

Il ne sert à rien pour un chien d’aller chasser dans les champs à la recherche d’un moyen de survivre. Il ne sert à rien qu’un chien s’occupe du troupeau et se nourrisse des restes de la veille. Parce que? Parce qu’il n’y a pas d’affaires. Le contrôle des animaux de compagnie est intéressant, mais pour le simple fait de garder la société sous contrôle. Cela ne sert à rien d’avoir un chien s’il ne participe pas au business de la santé et de l’alimentation…

Que «l’animalisme politique» Il naît en ville, pas dans les montagnes, dans les vallées, à la campagne, à la campagne. Né dans le ciment. C’est dans la ville que l’électricité est installée. C’est dans la ville que se trouve le vote, le suiveur, l’humain à surveiller, l’humain à contrôler. C’est le lieu où est dirigée la propagande collective, le message collectif de la « révolution des masses » moderne.

Le monde taurin doit marcher uni, comme nous l’avons toujours soutenu, avec le monde rural. Cela a été la grosse erreur de la tauromachie. Considérez chaque coup comme quelque chose de particulier. Nous n’avons pas été en mesure de donner une réponse commune. La place et la rue ont toujours été divisées, même si le fond était le même. On a vu que chaque attaque visait à mettre fin à un problème commun, sans voir qu’elle était une étape dans un long voyage. Cela s’est produit avec les corridas sur les places de Tordesillas. Et vice versa. Résultat? Territoire perdu.

C’est pour cette raison que l’entreprise Santander, avec les associations Fédération royale espagnole de chasse, ASAJA, Fondation Toro de Lidia, UCTL, Alliance ruraleles associations de sports animaliers et les 11 associations qui composent le Fédération des races à viande de Cantabrie, est l’union la plus forte du monde rural avec un mascottetisme urbain, élevé sur du ciment. Sans vitamines, sans terre pour planter ses racines et devenir plus fort. Ce qu’ils ont fait à partir des chéquiers et des médias. Désormais, c’est au monde rural de changer cette version. Rapprocher les problèmes de la campagne de la ville, même si l’intérêt est de plus en plus de voix et de moins d’avenir.

Les associations et les entreprises peuvent adhérer au manifeste via le site declaraciondesantander.com.