Elle se tiendra vendredi prochain et compte parmi ses intervenants des professeurs de différents domaines et des experts du monde rural et de la chasse
L’Institut Juan Belmonte de la Fondation Toro de Lidia, avec son chapitre de Grenade à la tête, a organisé une conférence universitaire le vendredi 20 janvier prochain, pour discuter et débattre du nouveau projet de loi sur le bien-être animal. Le jour qui aura pour titre, « Vision actuelle des animaux, concernant la charte de protection, les droits et le bien-être animal » a la collaboration du Faculté de Droit de l’Université de Grenade.
Cette conférence, à laquelle participeront des personnalités pertinentes des secteurs directement touchés par cette loi, comme le président de la Fédération andalouse de la chasse, se veut une réflexion large, sociale, normative, historique et philosophique sur le développement de nos relations avec les animaux et leur devenir dans un cadre nécessaire comme celui de la pensée académique et universitaire. Divers experts du domaine juridique, social et historique débattront du projet de loi sur la protection, les droits et le bien-être des animaux actuellement en cours d’examen au Congrès des députés.
Des conférenciers pertinents tels que José Luis Pérez Serrabonaprofesseur de droit commercial et doyen de la faculté de droit de Grenade ; Luis Javier Gutierrez Jerezprofesseur de droit civil à l’Université de Jaén ; José María Mancheño Luna, président de la Fédération andalouse de chasse ; José Miguel maire Morenoprésident du Collège des vétérinaires de Grenade ; Immaculé Torres Alaminos, présidente de l’Association des familles et des femmes du milieu rural d’Andalousie ; professeurs d’université et intellectuels tels que Javier Lopez Galiacho et Beatriz Badorrey et des avocats renommés tels que Leandro Cabrera, Fernando Navarro et Antonio OlivaresIls débattront tout au long de la journée.
La conférence débutera à 10h30 dans la salle des assemblées de la Faculté de droit de l’Université de Grenade et l’entrée sera gratuite jusqu’à ce que la pleine capacité soit atteinte.
Institut Juan Belmonte de la Fondation Toro de Lidia
L’Institut Juan Belmonte a été créé en 2021 dans le but d’être un centre de réflexion sur des questions qui, touchant spécifiquement le monde de la tauromachie, étaient également d’un intérêt essentiel pour toute la société espagnole. Así, se ha debatido sobre cuestiones como la defensa de la libertad de expresión, el peligro de la llamada cultura de la cancelación, qué es cultura y quien decide que algo es un hecho cultural protegible, la censura en las redes sociales, o la definición d’art.
L’une des questions essentielles qui affectent la tauromachie et aussi la société dans son ensemble est ce que devrait être notre relation avec les animaux. Pour Fernando Gomá, président de l’IJBce thème: « Il comprend le débat et l’analyse de courants idéologiques comme l’animalisme, dont le danger ne peut être exagéré, étant donné que, dans ses versions les plus extrêmes, ils proposent une élimination de nombreux éléments culturels, économiques et sociaux qui constituent l’épine dorsale de notre société. Et tout cela, pour être remplacé par une culture de consommation, égalitaire pour toute la planète, dans laquelle un homme de Valence pense, ressent et, surtout, consomme, tout comme une femme de Tokyo ».
Le chapitre FTL à Grenade, avec son coordinateur Fernando Navarre En face, la présence à cette conférence d’experts et d’associations du monde rural se démarque : « Cette loi est un véritable conflit politique entre les membres de consensus du Gouvernement ainsi que celui de toutes les associations et institutions concernées et en général de tous les opérateurs du monde animal : Vétérinaires, scientifiques, bergers, éleveurs, éleveurs, arroseurs, cavaliers, hommes d’affaires, chasseurs, toreros, etc. et en général tout le monde rural ».