C’était le jour de retour. Celle de retourner sur la place où un histoire qui, bien que vécue en partie en public, a fait taire la plupart des souffrances derrière les murs d’un chambre. Fermeture d’un cycle, même s’il y a encore de la reprise. Le retour pour triompher des limites de tout mortel. Tressez le paseíllo en marchant pour faire face au destination dans le même scénario qui s’apprêtait à lester la faucheuse vers un Fauteuil roulant ou même aux enfers de la vie.

Il miracle atteint, avec le liberté pour s’habiller à nouveau comme des lumières. L’ovation avec laquelle il a reçu Madrid pour Emilio de Justo c’était un vrai luxe. Une place debout acclamant un exemple de courage et vie. Les mains des banderilleros qui ont pris De Justo ce 10 avril sur le chemin de la Allaitement ils ont été échangés contre les mains d’un public voulant toucher leur idole en traversant la Grande porte de Madrid. toucher à nouveau le chéri.

mundotoro lance aujourd’hui une nouvelle rubrique : Le San Isidro qui ne se voit pas, où vous pourrez découvrir les détails les plus cachés d’un après-midi de tauromachie. Et nous le faisons, avec les instants avant le retour de Emilio de Justo à Madrid.

Il y avait de la tension dans la salle. Ce n’était pas n’importe quel jour. Emilio de Justo est revenu à Madrid. Votre carré. Et son après-midi aussi. Une journée qu’il a partagée très main dans la main avec les sélecteur d’Espagne, Louis de la sourcequi était présent à la des moments plus loin étroit de l’après-midi droitier. Un après-midi de retour et de triomphe.