ccommencer Saint Isidre, ce qui revient à dire que ça commence Madrid. Bien avant la société actuelle de boueen parlant de taureaux, c'était égal Madrid à Les ventes déjà Saint Isidre. Les deux montures. Ces usages synonymes s'échangent aujourd'hui davantage entre eux pour des raisons qui n'ont rien à voir avec la corrida. Une société intentionnellement divisée en deux. Et avec Madrid comme symbole de l'une de ces moitiés. Madrid, symbole d'une façon de faire de la politique, Madrid comme exemple d'une fiscalité différente, comme capitale constitutionnaliste, monarchique et taverne… Et Madrid, égal aux taureaux. Madrid, égal à Les ventes déjà Saint Isidre. Plus que jamais, les yeux des deux moitiés de ce Espagne Ravine sera attentif à ce qui se passe dans cette arène historique, symbolique et réelle, capitale ou épicentre de la tauromachie. Et que se passe-t-il ici, dans Madrid, Cela dépendra beaucoup de ce qui arrivera à la corrida.
Dans corrida, le salon s'ouvre encore plus à l'imprévisible. A Les ventes cette façon de gérer le hasard de la tauromachie, bien perdu d'ailleurs, où les élites du corrida sont exposés, plus que partout ailleurs, aux toreros qui n'occupent pas la partie supérieure. Ce n'est plus une question d'opportunité, ça aussi, mais une question califragiliste pour lequel on ne saura jamais quel jour le lièvre saute. Voilà Madrid. Concernant le taureau, pareil. Dans le cadre d'une possible paix dans la présentation, avec des travaux bien avancés où la pénurie est plus grande dans les corridas que dans les corridas (qui aussi). Cette chance fait Madrid soyez si puissamment ouvert.
Un seul suffisait place simple pour que la colère et la boue se répandent dans les réseaux, avec des réactions qui ne frisent pas la joie haineuse, mais plutôt des crimes de haine contre lesquels des mesures doivent être prises d'office
Le AntitaurinismeHier et aujourd'hui, il a tenté de démolir Madrid Par terre, par mer et par air. Il y a eu un moment, avec le public sans changement de génération, avec la baisse des abonnés, avec Carmena en soulignant les déficits de la propriété, nous avons pu entrevoir la victoire des sauteurs vers ce château néo-mudéjar. Heureusement, cette réalité s’est vite inversée. Jeunesse à côté des habituels, pluralité d'origines, typologies sociales diverses, bruit, calme, colère, joie… le tout grandissant à travers un travail jamais reconnu. Carré 1. Il ne pleut jamais au goût de tout le monde, mais le temps cédera la place à des expressions plus complètes. Cabalité.
Juste le contraire de quoi, une des moitiés de ça Espagne fictif/réel créé à des fins politiques, n'a rien à voir avec Madrid et la corrida et Les ventes. Un seul suffisait place simple pour la colère et la boue dans les réseaux, avec des réactions qui ne frisent pas la joie haineuse, mais constituent plutôt un crime de haine contre lequel des mesures doivent être prises d'office. « Les taureaux sont à la mode, parce que la liberté ne se démode jamais », tel est le message. Quelque chose d'anodin, venant d'une école maternelle démocratique. Les réactions des antis qui paissent sur les terres de cette moitié de cette propriété Espagne, Ils constituent un ensemble de crimes du tribunal du devoir. Pour un place qui, soit dit en passant, est devenu viral en quelques heures.
Qu'il corrida avoir sa propre vie est quelque chose d'insupportable pour cette minorité que d'essayer de faire du bruit au sujet de la majorité. Heureusement, tous les opposants à la tauromachie n’ont pas la violence des quasi-criminels. Que les jeunes de Plus de Madrid ont publié qu'ils allaient élever leurs enfants « pour qu'ils puissent manger le tien, espèce de putain de chic », C'est une plainte. Il ne peut y avoir d’exemple plus clair de discours de haine. Mais les parquets (de leur côté) ne feront rien.
corrida dans Madrid, dans Les ventes, dans Saint Isidre, Il a un poumon et un muscle que personne ne peut cacher. Et ça leur fait mal. Ne pas pouvoir attaquer Madrid ça leur fait mal
La haine du chic. Phrase qui vise à argumenter et cacher la haine de ceux qui ne sont pas comme moi. Sur place apparaît une jeune Colombienne adoptée par un torero, Ortega Cano. Fils d'un humble maire, Florito. Fille d'un torero dont les taureaux lui ont emporté des morceaux de sa vie, Paloma Padilla un étudiant, un « fils de footballeur », Diego Tebas ; la progéniture de l'un des droitiers les plus droitiers du Histoire, John Spartacus ; un journaliste sans ADN du IBEX, un étudiant du même costume… Mais, bien sûr, ils s'habillent comme ils s'habillent. Donc chic. Non. Ce n’est pas l’argument, mais l’excuse du discours de haine.
Jamais Urtasun et la haine n’ont eu autant tort. Il faisait semblant d'être un populiste chic (chic jusqu'à la garde, comme un chic en vêtements) Yolanda Díaz ou le sien Adonis Sánchez et sa très grosse dame) capturent la tribu et ce qu'ils ont fait est de provoquer une fois de plus un effet de rebond dû au rebond des Espagnols qui en ont déjà assez de ces événements moraux. Comme le Antonio Maestre, il pseudojournaliste de la liberté qu'il a affirmée dans Le sixième que la corrida est avec « respiration assistée ». Avec respiration assistée Plus de Madrid. Ce Ajouter. Pas la corrida. corrida dans Madrid, dans Les ventes, dans Saint Isidre, Il a un poumon et un muscle que personne ne peut cacher. Et ça leur fait mal. Ne pas pouvoir attaquer Madrid ça leur fait mal.
Heureux saint Isidre et que Dieu distribue la chance.