Le quatrième était l’autre bon taureau, celui avec les meilleures carrures, avec une oreille blanche et un python noir, avec une bonne longueur de python et un bon cou, qui a fait des choses douces sur le cheval et a finalement abandonné. Mais bien qu’ayant fui deux fois le pectoral, sur la béquille il avait de la vivacité, de la fixité et même une certaine classe. El Juli s’est très bien battu avec sa droite et sa gauche jusqu’à ce que le taureau chante ce qu’il a fait en première ligne : fendre. Et malgré cela, près des tables, Il juillet Il a pu s’approcher et le frapper avec des béquilles sur le dos dans une tâche qui a toujours augmenté et n’a jamais faibli malgré le fait que le taureau avait craqué. Le torero a parfaitement lu le terrain et ce qu’il devait faire dans une tâche intéressante, et aurait coupé deux de ses oreilles, mais il est devenu très compliqué et rétréci pour tuer. Demi fente très arrière. Oreille.

Bien présenté et de belle facture, le premier, au fer de Garcigrande, C’était un taureau noble qui avec un peu plus de force, de race et d’émotion aurait été très complet. Juli lui a signé un retrait pour chicuelinas et pour hautain au centre du ring très bien pour ensuite proposer une tâche avec une mesure, une distance et des hauteurs exactes, le combattant toujours avec beaucoup de soin et de courage pour ne pas le forcer. Les quatrième et cinquième rounds avec la droite ont été les plus consistants pour ensuite pénétrer à l’intérieur des pitons déjà avec le taureau très bas et se battre dans des circulaires et des rounds colorés. Fente arrière. Oreille.