le torero Martin Morilla était le nom le plus proéminent de la corrida tenue dans la ville de Tolède Casarrubios del Monte. Une belle tauromachie naturelle du droitier a impacté le ring dans le cadre du concours de Promesses de notre terre. Martin Morilla est sorti sur les épaules à côté de Michel Serrano à l’intérieur d’une grande corrida Brigitte Diaz Guerra, qui s’est occupé de deux bouvillons récompensés par le retour sur le ring. terminé l’affiche Pablo Villara qui malgré son inexpérience a laissé des béquilles avec une bonne coupure et a marché une oreille.

La tauromachie de catégorie la plus élevée de l’après-midi arriverait dans la seconde, à laquelle Martin Morilla caillé naturellement. Il s’agissait d’un bélier marron qui était en bon état et avec lequel le bouvillon râpait beaucoup. Les béquilles avaient une grande coupe, très proche de l’animal et de la grande tauromachie. Il a réussi à réduire l’assaut en plusieurs béquilles lentes et très fortes. grande dimension de Martin Morilla qui a marché deux oreilles après une grande fente. Avec le cinquième, le plus compliqué du confinement, il n’a pas pu boucler sa prestation, même s’il a aussi donné une belle dimension.

En quatrième place est venu un grand nombre de Brigitte Diaz Guerra qui a permis Michel Serrano s’étendre sur une tâche avec des béquilles de très longue course, portant toujours très bas et soumises aux assauts de l’animal courageux. Avec son premier, il a su imprimer l’espace, le temps et le rythme à un taureau qu’il fallait beaucoup atteindre avec la béquille.

une oreille a erré Pablo Villara que malgré son inexpérience, il a laissé des béquilles avec un bon concept, surtout celles réalisées avec sa main gauche devant la troisième.

arène de Casarrubios del Monte (Tolède). Génisse sans picadores du concours ‘Promesas de Nuestra Tierra’. tu étais de Brigida Diaz Guerra, troisième, Espartero-1et quart, asperges-19ont été récompensés par le retour sur le ring. Michel Serranosilence et deux oreilles; Martin Morilla, deux oreilles et ovation. Pablo Villara, oreille et silence