Il Conseil municipal d’Espartinas -dirigé par PSOE et Gauche unie– a une nouvelle fois montré son veto au Corrida en suspendant la réhabilitation de ses arènes en ruine, en plus de rejeter l’adhésion de la municipalité sévillane au Réseau des communes taurines qui favorise la Junte d’Andalousie. Une décision qui est liée, entre autres, à l’interdiction faite aux professionnels de la tauromachie d’utiliser les installations des arènes pour leur formation. Un chapelet de causes injustifiées qui réalisent des comportements contraires à la loi qui réglemente le Corrida comme Patrimoine culturel des Espagnols. Le journaliste Jésus Bayort a publié dans ABC de Séville un rapport dans lequel il examine la légalité des décisions du Consistoire par l’intermédiaire de l’avocat Joaquín Möckel et le juriste et vice-président du FTL, Fernando Goma.

Dans ce document, tous deux soutiennent qu’une administration municipale n’a pas le pouvoir d’interdire la corrida sur son territoire. En outre, pour mettre en garde contre les problèmes liés au refus de réformer la place. Fernando Goma s’assure que: ‘Cet abandon est une décision politique préjudiciable aux habitants de Spartines, puisque si à l’avenir arrive une nouvelle enseigne politique qui voudrait récupérer la place, elle devra payer un coût considérable sur les caisses publiques », tient. Il est bon de rappeler que Spartines a été reconnu dans le monde entier sous la figure de Juan Antonio Ruiz « Spartacus »étant actuellement torero Borja Jiménez son plus grand représentant.

Le rapport, dans son intégralité