Un après-midi inoubliable. De ceux qui dureront dans les rassemblements des hivers froids. Émile de Juste Oui Paul Aguado congelé dans Bassin deux des tâches de l’année. Et ils l’ont fait avant une grande corrida de brouiller, qui comportait des taureaux récompensés par le retour sur le ring -l’un d’eux, méritant pardon-. Le sévillan a caillé son grand travail dans la sixième, dont il a formé une authentique folie jusqu’à ce que le président sonne les deux avertissements. Le public a demandé pardon, comme il le fera plus tard avec les plus grands trophées. Le président a décidé de ne pas accorder les deux. deux oreilles erraient Émile de Juste du second, auquel il consentit avec une béquille puissante, capable d’allonger les attaques de l’homme cornu dans tout un domaine de tempérament et de sécurité dans les moments de l’embroque. Mauresque de Puebla Il a également « rejoint » la « fête » et sorti une oreille de la pièce.
Paul Aguado l’une des tâches de l’année a eu lieu à un taureau exceptionnel de brouilleravec beaucoup de classe, beaucoup de profondeur, et qui attaquait toujours le python à l’intérieur, avec lequel Aqueux il a expliqué sa meilleure version de la tauromachie. Série très serrée, combattant pratiquement en cercle, portant très bien l’assaut. Le public vibrait, et le taureau de brouiller. Le droitier sévillan a continué à se battre jusqu’à ce que les deux avertissements retentissent, cassé de la taille au naturel, les pieds joints et la silhouette dressée. Une folie. Piquer et fendre. Le public a demandé la queue, mais le président ne l’a pas accordée. Deux oreilles et retour au ring au taureau.
Taureau de très bonne présence était le troisième. Paul Aguado Il a été très torero tout au long de la tâche, et toujours avec une grande disposition. Le taureau a demandé des muletazos à hauteur moyenne et c’est ainsi que le sévillan les a administrés en essayant de donner du zèle à son assaut. Piquer et demi-fente. Ovation.
le deuxième de brouiller il fut récompensé par le retour sur le ring, un taureau à avaler dans l’embroque. Émile de Juste il l’a parfaitement compris et il s’est battu à volonté en sortant des séries extraordinaires, surtout avec sa main gauche, en sortant la béquille morte et en le tirant. Travail très complet et très bien structuré. L’homme d’Estrémadure était très convaincu à tout moment de faire avancer le taureau et de finir par se rendre à la puissante béquille du droitier. Poussée. Deux oreilles et retour au ring au taureau.
Celui qui a fait le cinquième était un taureau très debout et réservé. Avec peu d’options Émile de Juste essayé, mais le brouiller il n’a pas fait sa part. L’homme d’Estrémadure a laissé une fente. Ovation.
Le quatrième n’a été défini qu’au dernier tiers. Moran Il a développé une tâche de pouvoir, dans laquelle il était au-dessus de l’animal, et a pu capturer sa tauromachie à certains moments pendant le combat. Un bon départ avec de l’aide, en plus des tourniquets et des tranchées tout au long des travaux ont été les points forts, atteignant les lignes. Poussée. Oreille.
Le premier de l’après-midi n’a pas donné d’options à Moran, a été sans zèle, et a échoué devant les muletazos du droitier sévillan. Il a essayé pour les deux pythons, mais après avoir évalué les intentions de l’animal, celui de La Puebla a opté pour l’épée. sifflets.