Premier:

Sérieusement le premier, il a été placé au départ, il a attaqué avec génie, violence et mauvais style ; Taureau mauvais et dur. Il ne s’est pas laissé intimider avec la cape, il a pris les tours avec son visage dans les nuages. Il s’est plié Moran avec lui, il se mettait au milieu avec la gauche mais le taureau n’avait pas d’embroque. Il toucha ses oreilles et se dirigea vers l’épée.

Deuxième:

La seconde se situait dans les médias. il y est allé Talavant pour lui lier trois séries et une longue. Après un coup de poing, il a fait un retrait serré, cape dans le dos. Début des travaux par la statuaire pénétrant beaucoup dans le peuple et trois lots à gauche de grand trait et lien. Le taureau avait moins de débattement à droite et la tâche remontait du pied gauche pour finir avec des bernadines au centre du ring avant une fente. Bon taureau et bon travail. Deux oreilles.

Troisième:

Sous le troisième, avec peu de fond, terne et compliqué. Il semblait être bien meilleur qu’il ne l’était plus tard. il l’a combattu rocher roi Avec la cape jetant l’animal face vers le haut, il a commencé un travail à genoux pour mettre en œuvre une série avec la main droite, passe de poitrine incluant à genoux. Il lui a laissé de la place pour venir, l’animal a attaqué sans entrer dans les vols, et il s’est rapproché très rapidement, mais avant de le frapper avec son pied gauche, se rapprochant très près et lui donnant un temps à chaque passe, énorme. Puis il lui a fait un camouflet, il a fait le huit, des cercles sur le dos… et après une fente détachée il s’est coupé une oreille.

Quatrième:

La chambre a été rendue car elle était soi-disant réparée du point de vue, un chapeau noir en est sorti, un peu monté, grossier, qui en est ressorti cahoteux, sans trop de zèle. je l’ai frappé Moran quatre ou cinq sets immenses, d’une catégorie formidable, et bien qu’il y ait eu moins de liaison parce que le taureau s’ennuyait parfois… il a fait un sacré bordel avec la béquille. Noble, pas de classe, juste de passage. Il a commencé le travail assis à l’étrier, à deux mains, et a frappé une série avec sa main droite avec un ajustement formidable, mais surtout il a mis beaucoup d’éclat, beaucoup de passion, il a toujours eu un temps très serré, terminant le tourne de manière différente, certaines fois par le haut, d’autres par le bas, d’autres changeant de main, d’autres avec un guindeau. A gauche le taureau a moins tiré vers l’avant mais il en a mis beaucoup. Il a fini par toucher ses oreilles avec la béquille montée, avec le corps devant… ce serait celui de Cavazos de Monterrey, mais l’un est parure et l’autre un déchaînement de tauromachie exposée… formidable… Fente arrière, deux oreilles .

Cinquième:

Le cinquième, bien fait, avec un bon profil, était un taureau qui montrait de la qualité mais avait un comportement ennuyeux, sans aucune émotion. Il manquait de vie. il a bien combattu veronica Talavant, très serré et propre. Il se concentrait alors sur la muleta, car le taureau, avec un mélange de manque de force et de race, pouvait perdre ses mains ou tomber. Il l’a très bien combattu avec son pied gauche, très lentement. Il a tenu le taureau et la tâche, car il était très difficile d’atteindre la ligne avec une charge comme celle-là. Le taureau a été lancé après deux crevaisons sans lâcher prise et après un jonchage il a salué une ovation.

Sixième:

Celui qui clôturait la foire a fait un gros bordel. Noble mais sans vie. allé aux médias rocher roi et il l’a combattu avec la capote à l’épée de départ. Puis il a commencé à travailler à genoux au centre du ring, le taureau a perdu ses mains, il a continué à genoux mais a vu qu’il pouvait être affligé si on le forçait trop. C’est pourquoi il l’a beaucoup gâté jusqu’à ce qu’il en arrive à la conclusion qu’il devait s’approcher très près pour l’emmener très loin. Il a frappé trois séries avec sa main gauche avec la béquille d’en bas énorme, puis une autre avec la droite de la même manière et entre les pythons il a monté un énorme cacao, se laissant toucher la sacoche avec les pythons. Les deux épis étaient les meilleurs pinceaux de l’après-midi et de la foire.

Feuille de célébration :

Arènes de La Glorieta Salamanque. Cinquième et dernière inscription de la Foire de la Virgen de la Vega. Plein de ‘pas de billets’. taureaux de Núñez del Cuvillole quatrième en chapeau, bien présenté, inégal dans le type et la facture, toujours moins sauf le remarquable second, qui était le meilleur.

MORAN DE LA PUEBLA, silence et deux oreilles

ALEJANDRO TALAVANTE, deux oreilles et applaudissements

ROI ROCK, oreille et deux oreilles