Jvient le Tauromachie dans la bannière politique l’un de ses plus grands dangers. Eh bien, les ennemis le sont toujours, mais les « amis » jouent toujours avec elle. Et le pire : ils font croire et voient qu’ils le défendent. L’une des places les plus reconnues de la saison de la tauromachie est l’exemple de tout ce qu’une administration publique ne devrait pas faire : Le port de Santa Maria.

Le port est l’un des nombreux exemples de ce que cela signifie pour une administration de profiter de la « défense » de la tauromachie. En tirant un gain politique et surtout économique d’une compétition qui lui correspond pour le Constitution. Oui depuis le Tauromachie il n’y a pas une telle mentalité de créer un secteur, d’exiger en tant que secteur et d’agir en tant que secteur, il est impossible pour nous d’être traités comme Culture. Parce que nous n’y croyons pas nous-mêmes, et nous n’avons pas non plus la structure de réponse ou d’action pour cela. Au tauromachie ils le prennent pour un imbécile et, si ça dérape, pour un connard.

L’arène de Le port de Santa Maria a déjà annoncé un concert Le quartier pour le lointain 15 août. Et pourtant, la seule certitude en novembre 2022 sur la saison taurine 2023 dans cette ville de Cadix est que l’homme d’affaires qui gère les arènes ne pourra pas organiser de corridas en août lors d’une des journées les plus chargées de l’année et propices à celle-ci. Pour ne pas avoir, il n’y a même pas de déclaration.

Et maintenant, monsieur l’entrepreneur, donnez-moi un canon pour exploiter la place, mais en respectant, bien sûr, les dates des concerts, qui sont annoncées à l’avance parce qu’elles sont plus cultivées que l’art de Cuillères. Si c’est être ami avec tauromachie, être un ennemi doit déjà y mettre le feu. Populisme pur et dur. Où est le cahier des charges pour la saison prochaine pour Le port?

Ne panique pas. Il est encore temps d’en arriver à la situation imprésentable de l’an dernier : il est parti deux mois avant de donner des taureaux, à voir qui donne le plus d’argent et pendant un an. Et cette fois, il s’agit d’élections municipales, avec tout ce que cela implique. Cela n’aide pas Tauromachie. Pourquoi annoncer le cahier des charges et que l’entrepreneur taurin peut travailler sur un projet ferme et que le client sait à temps ce qu’il faut voir et comment voir pour son organisation de vacances.

Dites cela dans un contexte de traditions de gestion qui ne sont pas en phase avec son temps, ni avec les modes de consommation d’une société qui a des milliers d’offres de loisirs annoncées si longtemps à l’avance que cela permet au client de préparer, d’organiser, de structurer ses loisirs budget de l’année. Dans les Taureaux, les feuilles sortent quand elles sortent. Et les horaires sortent quand le camion avec les taureaux arrive au carré. C’est une chose de traiter les problèmes de l’extérieur et une autre est de les générer avec des programmes annoncés dans un espace restreint, sans aider le client à organiser son sac rare.

Annoncer avant et avec le temps, c’est aider la consommation dans les pires moments des économies nationales et avec la concurrence brutale que tauromachie il doit composer avec d’autres produits mis en vente plusieurs mois avant sa fabrication. Bien sûr, pour faire de la publicité avant, il faut qu’il y ait une entreprise. Et avant un concours. Et avant un cahier des charges. Mais ne semez pas la panique. Nous ne sommes pas un secteur. Mais il y aura toujours quelqu’un prêt à mettre une fortune à la dernière minute pour annoncer trois panneaux d’affichage la veille, dire qu’il y a « TV » dans le paseoíllo et donner au client des prix de vol.