Le torero Thomas Roufo et le journaliste Elena Salamanque Ils ont joué dans une nouvelle édition de ‘Le Mano à Mano‘ de la Fondation Cajasol, en particulier le numéro 66 de ces rencontres culturelles qui se tiennent à Séville depuis 2007.

L’intrigue était familière : deux jeunes professionnels à différents moments vitaux de leur carrière respective assis sur la scène du Fondation Cajasol accompagné de l’habituel animateur de ces rendez-vous classiques, le journaliste José Enrique Moreno, pour parler -précisément- de journalisme et de tauromachie. Mais la conversation allait donner beaucoup plus. C’étaient deux personnes de notre temps; parler de deux vieux métiers qui ont toujours fait bon ménage. L’importance de la tauromachie n’est rien si elle n’est pas racontée…

Dans une conférence particulièrement médiatisée, Elena Salamanque il prétendait: «Les choses ont beaucoup changé et les taureaux n’ont pas évolué à la même vitesse; il y a aujourd’hui beaucoup choix pour accéder à la Contenu et nous devons profiter de l’attraction des jeunes. Les télévisions généralistes ne s’intéressent pas aux taureaux mais il y en a d’autres plates-formes très important dans lequel nous ne devons pas perdre la bataille pour que le contenu taurin ne soit pas censuré, mais nous devons rechercher ces lacunes, profiter de ces avantages ».

En outre, Thomas Roufo a souligné l’importance des taureaux dans la société : « Le monde de la tauromachie occupe une part très importante de la société et nous devons nous faire connaître davantage. Nous devons arriver à public plus loin jeune, la société continue d’avancer et nous sommes en retard ; il faut y aller main dans la main, profiter des réseaux sociaux, trouver notre espace’.